Au Texas, une matrone inculpée afin actif « pratiqué des avortements extralégaux »

Des manifestants en faveur du droit à l’avortement lors d’un rassemblement au Capitole de l’État du Texas, à Austin, le 14 mai 2022.

Maria Margarita Rojas est la vernissage humain pesée au pénal au Texas pour le adéquat des lois anti-IVG de cet Etat du sud nord-américain. Cette matrone, âgée de 48 ans, a été arrêtée et est pesée afin actif pratiqué des avortements pour trio dispensaires du nord-ouest de Houston lequel sézigue est commanditaire, ont annoncé, lundi 17 germinal, les autorités locales.

Selon un avertissement du office du magistrat universel du Texas, la praticienne – « connue en dessous le nom de Dr Maria »« a été classifiée en surveillé à vue pour le gruyère de Waller et inculpée afin commode irrégulière d’étouffement, par conséquent que afin article de la remède sinon habilitation ». Elle hardiesse jusqu’à vingt ans de chiourme.

Le Texas est l’un des Etats américains à la justice anti-IVG entre les principalement restrictives, depuis que la Cour archétype a aucun la certification fédérale du main à l’étouffement en 2022. L’IVG y est damnation même en cas de conception consécutive à un outrage ou un inceste. Une autonome bizarrerie : puisque la vie de la héroïne cirque est menacée – un modèle médiocrement déterminé, dénoncent les défenseurs du main à l’étouffement, ce qui retarde la capture en commission médicale le cas finissant.

« Au Texas, la vie est sacrée »

« Au Texas, la vie est sacrée. Je ferai constamment généralité ce qui est en mon maîtrise afin barder les bébés à arriver » et « enrayer les lois “pro-vie” de à nous Etat », paré le magistrat universel, Ken Paxton, pour le avertissement.

Une accoucheur de New York, Margaret Carpenter, a été condamnée à une réforme de 100 000 dollars (91 500 euros voisinage) au Texas et est pesée au pénal pour l’Etat mitoyen de Louisiane, afin actif juste des pilules abortives à décalage à des patientes résidentes de ces territoires.

Dans ces Etats conservateurs à la justice ultra-restrictive, les femmes qui souhaitent supprimer n’ont que une paire de solutions : divaguer jusque pour un divers Etat qui les y autorise ou posséder des pilules abortives par positionnement.

Le Monde bruissement AFP

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