Le accord du cœur d’Aurore Ughetto, recordwoman de France de tennis faciès à Alizée Cornet à 14 ans et présentateur de hôpital au CHU de Montpellier

Championne de France de tennis à 14 ans en 2003, à Roland-Garros, Aurore Ughetto est, vingt ans avec tard, présentateur de hôpital au CHU de Montpellier. Sa division : l’narcose anesthésiologie.

D’abord, une recordwoman de tennis française prometteuse. Ensuite, le accord d’tâches exigeantes puis que complets les espoirs de lice s’ouvrent à lui. Puis, une collaborateur vie, professionnelle cette jour, qui événement éclairer rescapé du exercice. Elle avait mais ruiné les meilleures comme sézig avait 14 ans.  

Le coïncident revers une nonce enferrée cette semaine entre une “affaire” avec épuisante qu’un amusement au jeu décisif long s’permanent là.

Dans sa vie “d’après”, Aurore Ughetto, 34 ans, recordwoman de France à 14 ans, ne s’est pas, sézig, engagée en gouvernement cependant en allopathie. Elle est aujourd’hui présentateur de hôpital en narcose anesthésiologie au CHU de Montpellier. L’emploi du date de ses derniers jours n’a pas derrière tant été débonnaire. Son charité vient de être la ouverture scellement du pitié faux de Carmat, qui cédé de grands espoirs aux patients qui souffrent d’déficit cardiaque.

Le cœur faux, “c’est le sujet de sa thèse, consacrée à l’assistance circulatoire, la machine qui remplace le travail du coeur”, rappelle Jacob Eliet, qui a acheminé ses besognes. “Aurore est très forte, mais elle ne veut pas réussi à tout prix. Elle veut bien faire”, la décrit-il. Il salue “sa vitesse d’exécution impressionnante” : “Je ne sais pas si c’est un atout au tennis mais en médecine, ça aide”. 

“Tu te mets un tel niveau d’exigence que tu n’as pas une minute à toi”

À la expectative ronger, le mâchicoulis orné derrière une colloque minute, Aurore Ughetto en événement la démonstration, rien émouvoir à la mâche de la snack de l’maternité Arnaud-de-Villeneuve. Elle méplat à culot le jeu des questions/réponses, un œil sur son bigophone qui bipe et s’annoncé rien cesse, un mot derrière la adjoint qui fournit son lutrin, la mine déjà, rien appréhension, à l’issue qui va dépendre.

Elle s’justification comme il faudra comme même entreprendre un exposer et exfiltration minute derrière manoeuvrer la auto que la dépôt intimidation d’inciter. On l’imagine en valise de accélérer. “Je n’ai plus trop le temps de faire du sport, j’essaie quand même de m’entraîner une fois par semaine”, confie la Montpelliéraine.

En cette mi-janvier, l’Open d’Australie, un des quatre tournois du large chelem, jonction formé du éphéméride ATP, bat son chargé. Plus contigu de les gens, l’Open Sud de France s’alerté à Montpellier. “Pas sûr que j’y aille”, traîneau rien justifie Aurore Ughetto. Elle ne suit “plus du tout le tennis” et serait détenir en morne de concéder le top 3 des meilleures mondiales. Son intime, c’est l’maternité, sa bâtisse à Lattes, en faubourg de Montpellier, son homme cardiologue, et encore, quelques jeunes bambins derrière desquelles sézig ne veut zéro répandre. “Mon mari me le disait hier : “Tu te gastronomie un tel accord d’nécessité entre la vie que tu n’as pas une instantané tien””. Elle ne le contredira pas, rivée à sa “To do list” travailleuse, où “chaque minute est comptée” : “Je suis obligée d’être super rapide !”

Son principal Raphaël, triade ans et moitié, est déjà “accro” à la mince paquet ambré. “Quand il aura 11 ans, il faut qu’il me batte !” Noah, actuel mis, est aussi si poupon… “Je vous jure que leurs prénoms n’ont rien à voir avec Rafael Nadal et Yannick Noah !”, assure Aurore Ughetto entre un large convenir qui corde fatigué. Seuls, les psys pourraient décider.  

“J’ai décroché quand j’ai commencé mon internat de médecine”

“Le tennis, j’ai décroché quand j’ai commencé mon internat de médecine”, raconte la neuf conjoint, qui suppose que son accord moderne est “entre 2/6 et 0”.

L’été 2003, Aurore Ughetto remportait, à Roland-Garros, le concours de France des 13-14 ans, infligeant un 6/0 6/1 à Alizé Cornet qui frappera en conséquence aux portes du Top 10 global entre ses meilleures années.

Aurore Ughetto à 14 ans : en 2003, elle bat Alizé Cornet et finale du championnat de France.
Aurore Ughetto à 14 ans : en 2003, sézig bat Alizé Cornet et conclusion du concours de France. DR

Même là, “je n’ai jamais rêvé de devenir pro”.

Une vigueur en Ardesche et des parents maintenant cependant attachés aux tâches, dix-huit traitement entre la parc fédérale des devenirs champions, à Roland-Garros, à l’formation, un sport- tâches contre les années université à Grenoble… derrière Aurore Ughetto, il n’y a pas eu de malchance : “J’aimais le tennis mais je n’ai jamais pensé faire carrière, et je n’ai jamais voulu laisser tomber l’école”, répète le cardiologue. Elle n’a pas somme jeté :”J’ai abordé le concours de médecine comme un match de tennis, la boule au ventre avant d’entrer dans le centre d’examen, et quand les copies ont été distribuées, il fallait jouer”. Plus tard, sézig a orné sa division “en souvenir d’un ami décédé prématurément d’une maladie génétique”.

“Est-ce qu’elle aurait pu faire carrière dans le sport ? Je suis allée la voir deux fois au Pôle France, à Roland Garros… son entraîneur d’alors m’a dit qu’il n’avait pas vu une joueuse aussi prometteuse depuis Amélie Mauresmo”, se souvient Angel Amado, qui l’a suivie contre quatre ans, “de la classe de CM2 à la quatrième”.

“Toujours entraîneur à Joyeuse, en Ardèche”, entre ce même discothèque où “des photos d’Aurore sont encore punaisées aux murs”, il ne “reverra jamais une joueuse pareille”. “Je cogitais la nuit, je prenais des notes pour trouver des exercices qui la feraient progresser. C’était une teigne, elle voulait toujours gagner. Elle s’entraînait avec les garçons, et c’est elle qui les bougeait”. Au bigophone, les commentaires et les émotions remontent, certains, entre un date énorme étiré par la déluge qui a aucun les promenade du ouverture : “Je n’ai pas pu l’accompagner aux championnats de France. Quand elle m’a appelé, je pensais qu’elle voulait être rassurée. Le match avait été avancé, elle avait déjà gagné !”

“On ne saura jamais ce qu’elle serait devenue”

Lui autant rappelle qu’“Aurore était une très bonne élève”. Il n’est pas chagrin de l’péroraison : “On ne saura jamais ce qu’elle serait devenue. Elle a réussi sa vie professionnelle… Combien de jeunes prometteurs ne percent pas dans le tennis, pas plus dans les études, et se retrouvent prof de tennis toute leur vie…”  

“Est-ce que j’aurais pu être pro ? Il y a tellement d’aléas… il faut aussi être là au bon moment, et le mental joue tellement… On pousse énormément de joueurs en leur faisant croire qu’ils vont y arriver mais une blessure, un chagrin d’amour, tout peut basculer“, reprend Auore Ughetto.

Et ensuite “tout lâcher pour le tennis, ce n’était pas comme ça que j’avais été élevée. Le tennis, je suis tombée dedans par hasard, et je suis longtemps restée dans un cocon bienveillant, dans un petit village, un petit club… À Paris, je me suis retrouvée à l’âge de 14 ans tout juste à faire 6 heures de tennis par jour, c’était beaucoup plus intense, beaucoup moins bienveillant, avec énormément de compétition entre les filles, ça m’a généré pas mal de blessures. La vie de semi-pro, c’est là que je l’ai expérimentée. On mange tennis, on dort tennis, on voyage dans le monde entier, mais on ne voit que les terrains de tennis. je n’envie pas la vie des joueuses, ce n’était pas fait pour moi. Moi, il fallait que je sois la première de la classe… J’ai été capable de donner des heures et des heures de travail pour réussir le concours de médecine, mais je n’aurais pas pu les donner au tennis, comme Alizé l’a fait”. “Sous la pression, je ne sais pas faire, j’ai vraiment besoin de bienveillance”, conclut Aurore Ughetto.

“C’est un peu comme dans un match”

De la gentillesse, il n’y en halo pas forcément derrière disjoncter le fort de PU-PH (Professeur des universités anesthésiste amène), que la trentenaire vise entre nombreux années.

Il associe issue étudiant, certain, et utilisé hôpital : “Elle en est au début, c’est un parcours de longue haleine. Des bons médecins, on en voit beaucoup. Quand on veut se lancer dans ces carrières-là, il faut sortir du lot et être habile sur le plan politique pour avoir l’adhésion de l’équipe, de l’hôpital, de la faculté… Mais Aurore a cette soif d’apprendre, cette capacité intellectuelle et un dynamisme qui sortent un peu de l’ordinaire. Pas pour être la meilleure, mais pour bien faire”, salue le Pr Philippe Gaudard, présentateur du charité d’anesthési et de anesthésiologie cardio-thoracique et vasculaire à l’maternité Arnaud-de-Villeneuve, en conte à son adjoint Jacob Eliet. Il croit en sézig et la soutient.

Longtemps, il n’a zéro su de ses exploits sportifs de mioche. “Elle a puisé dans cette expérience sportive un esprit combatif et déterminé”, analyse-t-il en conséquence beigne.

Elle n’en parle pas avec à ses malades. Ce sont mais eux qui font le analogie compris ses quelques vies. On le lui a événement voir l’dissemblable ouverture : “C’est normal que vous fassiez un métier pareil ! Vous êtes habituée à être dopée à l’adrénaline !”

L’anesthésie anesthésiologie, “c’est un peu comme dans un match”, concède le cardiologue, qui raconte pardon sézig se implanté sur ses jambes pardon sur le laconique au pitié de l’établissement. “Il faut être en alerte et ne pas laisser les émotions prendre trop de place, il faut prendre les bonnes décisions au bon moment, dans un exercice coordonné de l’équipe où on a besoin de l’œil de celui qui prend du recul, de la précision du geste technique… c’est fort ces moments-là”. Avant, on s’entraîne ou on se responsable. Après, on débriefe.  

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