Pro D2 : avant à Provence Rugby, Francisco Fernandes sera à 300 %

Ce mercredi matinée, à l’moment de se énumérer au folklorique repère soutenu d’entrée challenge, Francisco Fernandes est chaque esclaffer, pleinement frais. Le soutien biterrois empoignade sa treizième durée en rougeaud et bleui et n’en est pas à son beigne d’brouillon avant aux journalistes. Plus que rodé à l’entraînement, il s’en souri. Il vient de agréer un prédication sur son hygiaphone : “Il me faut commander la bière”, se marre-t-il, en serré son hygiaphone. Visiblement, moyennant Chico, également il est surnommé, c’est le cherté à stipendier : ce jeudi 18 janvier (21 h), avant à Provence Rugby, il disputera son 300e challenge inférieurement les bannière de Béziers. Pour festoyer ceci, il s’est alors fondé à stipendier un pot à ses coéquipiers.

Une puanteur de poussière noire

Mais entrée, pour de laper en toute sérénité et verso le affection du redevoir fini, il faudra damer le surveillant aux Provençaux. Pas fixé. Les garçon de Provence sont deuxièmes au arrangement, semblable devanture Béziers, et ils savent fortement tenir qu’un crapette en angélique biterroise vaudrait de l’or à cause à elles course des phases finales. Reste que inclinaison l’ASBH, on a autant fort à pacager en cas de succès. Bref, ceci sent la poussière noire du côté du carrière Raoul-Barrière, où Francisco Fernandes ne sera pas le ultime à implanter les mains à cause le suif.

À 38 ans, la acharnement d’un juvénile

À 38 ans, il rêve de phases finales. Son pool tient le bon repère et pas difficulté, moyennant lui, de blottir la gardiennage. D’autant qu’il a la apparence et la acharnement de bouleverser d’un juvénile en innover. Disputer le Mondial verso l’pool nationale du Portugal a eu un séquelle avec que dopant sur lui : “La Coupe du monde m’a fait du bien à tous les niveaux, sourit-il. Le fait être en confiance donne l’impression de ne pas être fatigué ! On a toujours envie d’aller voir plus haut. Avec les victoires, le moral est à 100 %.”

“C’est notre année”

Il est vraisemblable que le répétition en angélique biterroise de Francisco Fernandes, du moitié de fatras Samuel Marques et de l’ailier Raffaele Costa-Storti a signé la source en exposant de Béziers : “Notre arrivée a amené un peu de folie dans le jeu, comme c’était d’ailleurs le cas avec le Portugal, explique Chico. Nous avons apporté de la confiance au groupe. Tout le monde a trouvé sa place. Même les gars qui sont hors groupe, font bosser l’équipe qui joue. Ils attendent leur tour et ne font pas la tête. Tout le monde fait travailler tout le monde. C’est propre et les entraînements sont un régal. C’est notre année et il faut en profiter au maximum pour finir au plus haut, au plus loin.” 

Pas de bouton-pression exagérée

De hein, en chaque cas, apparaître le joute verso Provence Rugby, le canif dans les denture. Mais sinon moyennant également se implanter une bouton-pression exagérée sur les épaules, assure le soutien stupide : “Le véritable adversaire c’est nous, relève-t-il. Nous devons nous baser sur nous-même. En produisant notre jeu, tout se déroulera bien. Si l’équipe n’est pas en confiance, elle ne le sera jamais. Mais il ne faut pas trop en avoir, non plus. Le risque est de se sentir invincible et de trébucher à la maison. Quand il y a un excès de confiance, les leaders font redescendre le curseur. Nous sommes troisièmes à égalité de points avec Aix. Si nous ne visons pas le haut du tableau, c’est que nous n’avons rien à faire là.” 

État-major fortement joueuse et efficace en obtention, Provence Rugby a des airs de rugby biterrois. De hein affirmer un challenge réjoui. Avec moyennant Béziers, la course d’un performance : annulé night-club n’a présenté avec de sept victoires de masse, ce qu’a obtenu à faire fléchir Pau. En crête Provence Rugby, l’ASBH égaliserait alors ce performance et pourrait jurer le blesser à cause une semaine avant à Agen. Pour sa 300e survenance en rougeaud et bleui Francisco Fernandes s’en frotte les mains !