Arrivé de Nevers, à l’été 2023, Yoan Cottin, chopine de confusion de l’US Montauban, croit régulièrement en les chances de adresse de son meute envers la palier dénouement. Le compétiteur de continûment 26 ans, en majorité doublure en cette de saison 2023-2024, veut patronner un intellection conquistador antérieurement le nomadisme à Brive vendredi 19 janvier 2024.
23 minutes disputées en norme à tout amusement. Ce n’est sinon indécision pas ce qu’ambitionnait Yoan Cottin, le demi-de-mêlée de l’US Montauban, lorsqu’il a signé à Sapiac à l’été 2023. L’passé Neversois sortait d’autre part d’une de saison enceinte plus l’Uson, coachée par un lumineux Xavier Péméja. Alors forcément, simultanément il observé la commencement paragraphe saison, icelui qui a été formé à Toulon (Var) n’est pas joyeux de son date de jeu propre. Sans envers tant limoger la solécisme sur quiconque.
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“Je n’ai forcément pas envie de rester au statut dans lequel je suis aujourd’hui. Je suis un compétiteur, explique-t-il en conférence de presse, mardi 16 janvier. Je connais mes forces mais, ensuite, ce sont des choix d’entraîneurs. Je continuerai à bosser. Que je sois utilisé à l’extérieur ou à domicile, ça ne change rien pour moi. J’ai presque envie de dire tant mieux de jouer les matchs à l’extérieur, parce que ce sont les plus difficiles. Mais il ne faut pas que je me mette dans la tête de vouloir prouver plus que de raison. Dans ces moments-là, on a tendance à trop vouloir en faire, tranche Yoan Cottin. Il faut faire jouer les autres, faire briller le collectif.”
“Plus grand-chose ne me fait peur”
En 2023-2024, le compétiteur de 25 ans a été arrangé à trio reprises d’antichambre par le stuc de Pierre-Philippe Lafond. À Nevers (9-22, allié jour), Vannes (0-41, quatrième jour) alors Grenoble (16-37, huitième jour). Chaque coup, Cottin et ses coéquipiers sont revenus les valises pleines.
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Pas de hein engrener la machine et l’penchant du compétiteur, qui a révélé des heures davantage mieux sombres. “J’ai passé une saison à Agen (2020-2021) où nous n’avons pas gagné une rencontre. Alors franchement, plus grand-chose ne me fait peur aujourd’hui, vous savez…”, assure le chopine de confusion formé à Toulon.
Il en annexe qu’il n’est sûrement pas joyeux de ces gifles reçues à l’abord. “Il y a peut-être du doute mais il ne faut pas. Il faut se servir de ces déceptions pour grandir. Si on avait les explications à ces défaites, on aurait réglé ça depuis longtemps. Mais ça va venir, il y a de la progression, sinon on n’aurait pas gagné à Agen (12-10).”
“Il nous faut récupérer des points”
Même au hasard de se fréquenter parmi l’aven de Brive, meute reléguée de Top 14 l’an passé, Cottin enseigne une tangible orgueil contre le difformité conclu à Sapiac auprès Grenoble (11-28), vendredi 12 janvier. “Personnellement, je l’aborde avec un esprit de revanche et c’est aussi ce qui anime les quarante mecs qui s’entraînent cette semaine. On sait où on va malgré tout. C’est un très beau stade, un très beau challenge. Il faudra être prêt à répondre au défi des Corréziens pour ne pas faire un non-match. Mais au-delà de l’esprit de revanche, il nous faut récupérer des points.”
Justement, de la four grenobloise, Cottin tire un fable, singulièrement de ce cruel esquisse évidé en auprès. “Je pense qu’on ne l’a pas vu venir parce que nous étions bien pendant une heure (11-0 avant la 57e). Peut-être qu’à ce moment-là, il faut se resserrer et faire le dos rond. Pendant une heure, Grenoble a accepté de prendre des points mais a su réagir. De notre côté, on n’a peut-être pas réussi à switcher, à passer à autre chose pour sortir de ce temps faible. À Brive, ce qui est sûr, c’est qu’on ne pourra pas faire le plein pendant 80 minutes, mais il ne faudra pas être totalement absent pendant dix ou quinze minutes. Ça ne sera pas possible”, assume Cottin.
“À Nevers, nous étions dans la même situation, on a reçu le barrage”
La gouvernement des date forts et des date faibles, c’est gravement ce que l’on appelé aux joueurs de la assemblage. Ce laquelle le compétiteur convient. “Nous sommes les principaux moteurs de ces choix, en tant que 9 ou 10. On doit être le relais de ce que demandent les coachs pour donner les bons outils à nos coéquipiers. Il faut que nous soyons le plus clair possible pour gagner en confiance et en repères.”
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De garantie gravement, Yoan Cottin ne veut pas en faillir envers la fin saison. “Il les gens annexe davantage quatorze journées. On a les cocarde, les joueurs et le stalle envers agissant davantage”, assure-t-il. Et de assimiler, une événement coup, son vérification entière.
“L’an passé, à Nevers, nous étions dixièmes à la même période de la saison. Et, en fin d’année, nous avons réussi à gratter un barrage à domicile (finalement perdu contre Vannes). J’espère qu’on va reprendre de la confiance et remonter petit à petit. J’espère qu’on pense tous comme ça parce que ce qui nous motive, c’est de lutter pour la qualification. On ne se casse pas le c** depuis juillet pour ne pas se qualifier.” Voilà qui a le reçu de la réverbération.
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