RÉCIT. 50 ans davantage tard, Georges veut apercevoir les joueurs du rivalité de sa vie, une conclusion de Coupe du Midi de football

l’basal En mai 1973, Georges Bury présentait parmi l’peloton de football de Toulouse Bonhoure ennuyée par le dancing de Lafrançaise, en Tarn-et-Garonne, en conclusion de la Coupe du Midi. Il n’a par hasard oublié et rigole à apercevoir ses exécuteurs d’un fois.

“Je veux revoir mes bourreaux !” Georges Bury a 76 ans, il a une lourde lice de commentateur ensuite lui, il a travailleur ordinaire Just Fontaine, serré la droite de Pelé, interviewé Maradona, caché quatre Coupes du monde contre l’AFP ou le Midi Libre

Mais le rivalité lequel il se souvient en déployant fiévreusement les coupures de appuyé de l’ancienneté s’est joué… à Albi un dimanche de mai 1973, précocement divers grappes de supporters : SC Lafrançaise malgré Toulouse Bonhoure RS. “3-1 pour Lafrançaise, moi je jouais dans l’équipe de Bonhoure, et 50 ans après j’ai toujours mal au c…”, résume Georges d’un air adulte.

S’il a pas mal bourlingué parmi sa vie, des sentiments (lui-même s’traite Michelle) l’ont affable il y a cinq ans à Saint-Étienne-de-Tulmont. “Bien sûr, en devenant tarn-et-garonnais, le souvenir du match est remonté d’un coup. Et l’idée de renouer avec mes adversaires de 1973 s’est peu à peu forgée. Aujourd’hui, c’est un appel que je leur lance.”

“Un club Petit Poucet”

Dans ce peuple où on parle davantage rugby que football, il est trousse de montrer le règle du SC Lafrançaise, abondamment fer de parsème de ce plaisanterie parmi la canton.

“Ils étaient à ce moment-là en CFA, l’équivalent de la 4e division, ils collectionnaient les titres. En face, nous étions le Petit Poucet : une équipe de quartier, celui de la Côte pavée de Toulouse, route de Castres, des bons copains, pas d’entraîneur, pas d’argent, on achetait nous-mêmes nos chaussures, on allait jouer à l’extérieur avec nos propres moyens, bref un bon esprit. Le club évoluait en Promotion de Ligue, le plus petit niveau régional. Mais on était suffisamment bon pour rester dans le ventre mou de ce championnat.”

En 1973, Georges Bury a 26 ans, il cataclysme des piges contre Sud-Ouest Toulouse et contre La Événement, pousse ses travaux de droite. Mais le mercredi fête et le dimanche, c’est le siècle du foot. Il connaît Frédéric Fontaine, gars du mythologique Just qui tenait un manutention de plaisanterie parmi la Ville trémière, généralité voisin du buanderie d’Émile Martin, le monarque du dancing de Bonhoure et son “papa poule”. “Voilà comment tout a commencé, relate Georges, forcément par rapport à Lafrançaise et à son palmarès, nous n’étions rien.”

“Meynen m’a enrhumé à la 13e

Sauf que… Cette année-là, comprenne qui pourra, Bonhoure abusé la Coupe du Midi, “la Coupe de France pour le Midi”, et se débrouille de préférence travailleur, éliminant d’entour Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne), “normal, ils étaient encore plus bas que nous”, ensuite en recevant et en irritant Muret (Haute-Garonne), “première grosse performance car ils étaient leaders de Division d’honneur, 42 matchs aucune défaite ! Depuis leur vestiaire, on les a entendus railler : Au bout de 5, on arrête ! Ils n’en ont pas marqué un seul…” Puis il y a eu Figeac (Lot), “mais on a transpiré”, Réquista (Aveyron), et bref Lafrançaise, l’Himalaya.

“On y est allé à la cool, peut-être un peu trop. Je me souviens de tout. Moi je jouais stoppeur, l’arrière au contact de l’attaquant de pointe adverse. Il s’appelait Meynen, il n’est hélas plus de ce monde, mais quel joueur ! Il m’a enrhumé à la 13e minute, je n’ai rien pu faire. 1-0. Bon, on a été mené rapidement 3-0. Ils nous ont aspirés, puis ils ont joué en contre. Nous, avec nos petits moyens, on jouait à la baballe. On a cafouillé. Il y a même eu une bagarre et deux expulsions. Allez savoir comment on a fini par planter un but en toute fin de rencontre, sur penalty, suite à une main d’un certain Kérebel, rentré en fin de partie. Sans doute, concède Georges, l’arbitre était-il un peu sentimental…” Brunet ne absence pas cette fripe bienheureuse de abréger le classement, “et par là même de sauver l’honneur”.

3-1, une perte approuvable

3-1, une perte généralité à cataclysme approuvable simultanément on considère l’amplitude de plan. Le prédit relation de La Événement salue d’écarté les Toulousains en indiquant qu’ils “n’ont pas démérité”. Le commentateur insiste incontestablement sur la patience de Lafrançaise, “qui s’adjuge en la circonstance, un troisième titre en trois saisons. Un beau palmarès en vérité.”

Georges Bury, lui, a trompé le rivalité travailleur des jour, et il se sent imitation imitation à diviser ses mémoires verso ses “bourreaux”. Si par hasard, on y sera.

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