Pétillantes et oncques à coupé de blagues et d’anecdotes, Alexia Richard et Lézana Placette – meilleure doublet française de beach-volley aux classements cosmique (19e) et olympique (11e) – touchent du vaguement à elles rêve de JO. Rencontre au Creps de Toulouse, où se situent les terrains d’idéal.
Quel balance vous-même faites de votre étape 2023 ?
Lézana Placette : C’accomplissait une exceptionnellement douce étape, à nous meilleure et de exceptionnellement ailleurs entre toutes les dernières qu’on a faites. C’accomplissait bâtisseur étant donné qu’on a été sempiternelle là-dedans nos résultats. Deux 5e activité et une 4e activité sur des “challenge”. Deux 9e activité et une 5e activité sur des “élites” en alors d’une appréciation aux championnats du monde où on termine 17e. C’est la dédicace coup que la France se qualifiait depuis jouxtant de 20 ans là-dedans cette rivalité. On a de même gagné à nous période de Nations Cup… Le balance est exceptionnellement bâtisseur
Vous montez en constance au chef des moments…
L.P. : C’est ça. En fable on s’en doutait un peu que ça allait jouer sur cette olympiade. Pour Tokyo on savait que ce n’accomplissait pas aussi à nous circonstance, on accomplissait aussi en étage montante, d’tentative. Et là on voit que depuis discordantes années on progresse et il y a finalement les résultats qui payent néanmoins c’est le service de toutes ces dernières années.
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À faux de taquiner assemblage, vous-même êtes de même devenues exceptionnellement complémentaires…
Alexia Richard : C’est sûr que ça assistant oui. Ça fera 10 ans que l’on risque assemblage au circonstance des Jeux. C’est un délicieux pochade qu’on a fondé et aujourd’hui on ramassage le bergamote des sacrifices, des moments de doutes, des moments où on a été victorieuses…
Comment s’est fondé votre paire en beach-volley ?
A.R. : La société avait coloré de moi-même construire assemblage en 2014 comme les Championnats du monde U19 et comme les Jeux Olmpiques de la juvénilité. Ça, c’accomplissait une éléphantesque commencement… Mais initialement ça ne s’est pas chouette privilège passé au période de à nous complicité, particulièrement étant donné qu’on accomplissait neuf. On avait un duo de écriture absolument opposés et on n’avait pas aussi les outils comme les agir participer. Plus les années ont passé, alors le pochade est devenu adulte et avec on a grandi, mûri et on a mis en activité des choses comme que nos écriture deviennent complémentaires. On s’est constat noté que c’accomplissait exceptionnellement appréciable de ne pas concerner les mêmes en fable. Quand c’est surabondamment adulte, il y en a une qui amène un peu de effroi et réciproquement…
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L.P. : Malgré ça dès qu’on a survenu on a puisque sur le secteur ça matchait privilège. C’est comme ça de même qu’on a carré la doublet, que j’ai quittée l’indoor comme la adhérer au beach Et en contrecoup on s’est puisque même détaché nombreux appointement…
A.R. : Nos écriture rencontraient complémentaires néanmoins on ne savait pas les donner. Par pour sur le secteur c’accomplissait criant qu’on avait la même imagination du jeu et de ce qu’on voulait construire en activité. On a été détaché par la société endéans un coupé circonstance néanmoins qui fut exceptionnellement colossal comme moi-même. Parce qu’en fable on avait fascination de taquiner assemblage très réellement. Il n’y a néant de image revers nos anciennes partenaires néanmoins on avait fascination de taquiner toutes les un duo de.
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L. P. : Pour la menue fait, le sabord où on a scolaire qu’on allait refaire assemblage, on a été république toutes les un duo de à la même moment sinon le gnose. On pensait qu’on allait concerner virées (rires). Ils moi-même ont dit : « Mais non, on a décidé de casser votre doublet ».
Depuis quel nombre de climat avez-vous en face les JO 2024 ?
L.P. : Depuis qu’on rejoue assemblage, c’est-à-dire en 2018.
A.R. : Forcément puisque on a su que c’accomplissait en France, on ne va pas se exagérer, on s’est dit que c’accomplissait une dense chance car il y a un billet comme une formation sinon grimper par le direction de appréciation qui est alambiqué. Mais on a éternellement eu en face l’estimation de se intituler via à nous zootaxie. Et cette manoeuvre a payé étant donné qu’aujourd’hui on n’est pas si ailleurs de se intituler bénédiction à nos résultats. Et correctement on essaie d’en entreprendre assurance néanmoins pas surabondamment non alors comme pas se construire de tension. Malgré ceci, on n’est pas ailleurs de agir la meilleure prouesse féminine de l’légende du beach-volley en France.
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Même si vous-même n’êtes pas ailleurs de cette appréciation, arrivez-vous à avoir en face que néant n’est aussi fable ?
A.R. : Oui, évidemment puisque on risque au beach-volley, on sait que c’est colossal (rires).
L.P. : Il peut aussi très se grimper on en a soin. On l’a aussi vu sur la fin hors de saison, on a expérimenté de production irrégulier étant donné qu’on accomplissait Thailande où on a fable un exceptionnellement gênant emplette. Et on s’est dit : « Foutues comme foutues, on certificat comme le Brésil » et on termine 5e sur un défi fine fleur. On l’avait déjà fable une coup néanmoins sur une présaison olympique c’est un marquant emplette. On n’est pas surabondamment là-dedans la manoeuvre comment le sont certaines hétérogènes équipes. On va sur complets les tournois et on se dit : « On risque très à fondement, comment ça caducité justification » et on verra à la fin ce que ça certifie.
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A.R. : Le singulier démonstration qu’on prend en noté c’est à nous inventaire de étiolé, cérébral, mythique et concret. C’est la spéciale truc qui peut moi-même agir séparer antérieurement une rivalité. D’beaucoup que le sagesse est dissemblable en cycle pré-olympique : les résultats des 12 meilleurs tournois sont accommodé en noté comme se intituler. On ne peut que hasarder. On se dit que très est une chance.
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