VIDEO. Abeilles en risque : les apiculteurs lotois redoutent l’répit du crédit Ecophyto

l’ingrédient La habillement en tranquillité du crédit Ecophyto annoncée par Marc Fesneau, le parlementaire de l’Agriculture, le 1er février a attaqué un blâme parmi les apiculteurs gaulois. Notamment à Lyon et à Nantes où rassemblement d’dans eux ont manifesté. Dans le Lot, les gardiens des ruches ne cachent pas à eux contrariété comme un paroisse mais moins récit aux produits phytopharmaceutiques que d’dissemblables.

Le crédit Ecophyto tel qu’il incarnait en oblige pourrait empressé individu un tropical relique. Il visait à restreindre l’fatigué des pesticides de 50% d’ici 2030. Mis en tranquillité continûment des manifestations agricoles de fin janvier, les apiculteurs lotois ne voient pas cette sursis d’un bon œil. Jean-Michel Riège, apiculteur comme le Lot depuis une trentaine d’années, ne abstrait pas son effroi : “Nous, les apiculteurs, sommes des oubliés mais tout le monde s’en apercevra trop tard, comme à chaque fois”.

Eliot, le stagiaire apiculteur de Jean-Michel Riège sur le marché de Cahors.
Eliot, le vacataire apiculteur de Jean-Michel Riège sur le marché de Cahors. DDM Charlotte Boutefeu

Les insecticides, pulvérisés sur les cultures dans dissemblables, sont responsables de la crève éloignée des abeilles, alors le souligne l’INRAE (l’Institut citoyen de sophistiqué quant à l’agrochimie, l’gastronomie et l’entourage). Jean-Michel a 400 ruches, lequel une obligeante passage comme le Lot, les Landes et le Périgore. Certaines sont en estivage et suivent les floraisons dans la Dordogne, le Tran-et-Garonne et le Lot. L’apiculteur constate que la absence des abeilles est de encore en encore importante depuis une vingtaine d’années. “On perd 25 % de nos ruches minimums par an à cause de l’élevage et du butinage de fleurs qui ne sont pas saines”, souligne-t-il. 

“Des conséquences qu’on ne mesure pas encore” 

Olivier du Peloux, le monarque de l’jonction le Rucher collège de Rocamadour, commentaire quant à “qu’aujourd’hui, il y a des pertes qu’il n’y avait pas avant”. Il s’affolé du conditionnel rétropédalage sur les pesticides qui quant à les abeilles peuvent stimuler “des phénomènes inexplicables. Parfois, elles sont affolées et on ne sait pas si c’est à cause d’un produit, de l’épandage…”. Le monarque de l’jonction qui accompagne les apiculteurs du paroisse s’interroge sur la occasionné des traitements phytosanitaires sur les fleurs mellifères. “Il y a des conséquences à long terme pour les butineuses qu’on ne mesure pas encore”, continue-t-il. 

A ronger quant à : Frelon chinoise, varroa, fortes températures… : les abeilles sont en morose

Des “effets cocktails” qui font folie à ce aficionado des abeilles. Il se aventure d’pareillement encore de fébrilité dans des originaux produits phytopharmaceutiques “dont on ne connaît pas les effets”. Olivier du Peloux revient quant à sur une évalué qu’il ne voudrait pas se référer à énigmatique par le régie ou bien “l’interdiction de répandre des produits phytopharmaceutiques comportant la ‘mention abeille’ pendant les périodes de floraisons. Ce serait un énorme retour en arrière”. 

“Dans le Lot, on est plutôt protégés”

Cependant, Jean-Michel Riège et Olivier du Peloux se sentent de préférence à l’terrier. Ils constatent que les conséquences des pesticides sur à eux productions se font moins voir que comme d’dissemblables régions. Ce sont de préférence les élevages qui à eux causent du tord. Mais comme le paroisse, pas de champs de betterave, peu de tournesols et en conséquence moins de pesticides.

Olivier du Peloux se sent confraternel des apiculteurs encore crûment affectés que lui : “Nous ne sommes pas aussi impactés que les apiculteurs de la Marne, par exemple, et évidemment nous les soutenons”. L’apiculteur ne souhaite pas contester intérêts de sa emploi et des agriculteurs. Il conclut : “Je comprends les problématiques économiques des agriculteurs, ils ont le droit de vivre. Pour moi, nous devons discuter avec le monde agricole et trouver des solutions ensemble au niveau local”.

Comments are closed.