Nîmes Olympique : la échec à Nancy, une attentionnée raccord de évocation revers les Crocos

En ne mettant pas les ingrédients indispensables en moment tour, vendredi déclin à Nancy, revers le dépense de la 23e date de National, les Crocos ne pouvaient que dépraver (3-1).

Le débriefing vidéodisque incertain d’essence corsé, lundi, à La Bastide. “Soyez magnanime avec les joueurs, je m’occupe du reste, a dit en substance Frédéric Bompard, vendredi soir, après le huitième revers de la saison à Nancy (3-1). J’attends plus de la part de certains. Je me dois d’être exigeant avec eux et je le serai.”


La 23e date de National et le archivage


Au-delà de la échec et de l’insuffisance dégagée ultérieurement le halte – “Nancy nous a été supérieur” -, c’est le ardeur d’désistement de ses troupes ultérieurement l’répartition lorraine qui a importuné le coupé nîmois, entour également que les triade buts encaissés, “évitables”. “Il faut être plus forts mentalement. Il n’y avait pas lieu de s’affoler et de baisser les bras quand on a été rejoints au score”, a-t-il tonné.

Mendy : “On a failli dans les efforts collectifs”

“On est complètement passé à côté en seconde période, on ne s’est pas remis dedans, on a failli dans les efforts collectifs et on l’a payé cash ”, récit rien mansuétude le aviateur Formose Mendy. “On s’est complètement déstructurés et la sortie de Mathis (Picouleau), l’un de nos meilleurs joueurs, n’y est pas étrangère, elle nous a fait mal”, enchaîne Bompard.
“En première période, l’équipe avait su rester équilibrée et compacte défensivement. Cette compacité dans le bloc, on l’a ensuite perdue”, absolue Mathis Picouleau. Nîmes, qui n’avait emmanché qu’un but lorsque des cinq dernières journées, s’est exhaustivement délité et n’a comme bagatelle maîtrisé.

Pas de espace, en conséquence l’service de se amocher de la primaire à la dernière moment

“On n’a pas le droit de passer à côté sur certains points cruciaux. L’équilibre et l’état d’esprit collectif de la première période ont disparu, regrette Mendy. C’est dommage car il y avait moyen d’accrocher le nul. À 1 partout, on savait que Nancy allait pousser pour enfoncer le clou. On n’a pas été capables de faire face, on ne s’est pas mis en capacité de le faire. À ce moment-là, il aurait fallu se montrer plus rigoureux, plus attentifs, communiquer encore plus entre nous…” Et le aviateur nîmois, qui “ne veut pas oublier les bonnes choses de ces dernières semaines et tout remettre en question”, de marteler chaque élément : “On n’a pas de marge. On n’a donc d’autre choix que d’être au taquet de la première à la dernière minute. C’est une bonne piqûre de rappel.”

Le comportement sera chaque hors sidéré

Frédéric Bompard et son gypse vont actif une semaine revers absoudre les choses en acte prématurément “la réception importante” (Picouleau) de Cholet, “lanterne rouge qui a battu Dijon (2-1) qui avait lui-même battu Nancy (3-1), relève Mendy. C’est un Championnat qui est très compliqué, très homogène. Tout le monde peut battre tout le monde”.

Huitième simultanément il menait 1-0, le night-club croco n’a en définitive pas réintégré la primaire milieu de inscription, quittée depuis la 12e date, et détritus à la rive de la zinzin de déportation. “On va devoir lutter jusqu’à la fin, c’est clair, a prévenu Bompard. On aurait aimé un maintien tranquille, ça ne sera pas le cas.” Message à l’discours de ses joueurs qui s’vivaient probablement (re)vus assez délicieux ultérieurement à elles article de triade victoires et un couple de nuls.

Engranger au moins cinq victoires principalement 

Une raccord de évocation, en conséquence, sur les exigences du National. “On va voir si on a cette force de caractère pour switcher et, surtout, si on a appris de nos erreurs”, émet Picouleau, qui “ne (se) fait pas de souci par rapport à ce que (Nîmes) a montré depuis le début de la phase retour” seulement n’a pas oublié non comme chaque ce que la échec façade Épinal avait esquissé. Il détritus onze matches à ergoter et Nîmes ambiance faim d’en manger au moins cinq revers se river. Conclusion de Mendy : “Il faudra batailler, batailler, batailler…”

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