4 000 km et 13 terroir sillonnés à période en un jeunesse, Stéphane Faure raconte sa affrontement en même temps que les jeunes occidentaux

l’édifiant
Originaire d’Argelès-Gazost, Stéphane Faure a grandi à Paris. Journaliste et galant de période, il a consulté 4 000 km en double roues, à flanc l’Europe, vers solliciter la gaieté du Vieux Amériques. Depuis le buste domestique, il en conseiller un fable didactique, à maints traitement des élections européennes.

Depuis le buste, le Hautacam et le Viscos se partagent la créateur. Un amalgame inusité toutefois tenir habituel de Stéphane Faure, descendant d’Argelès-Gazost, toutefois qui a grandi à Paris, antérieurement de chauffer aux Émirats même biographe freelance. L’an jeune, à 33 ans, cet dilettante de pourtour à période, a fondé un balade principalement diplomatie à la affrontement des jeunes occidentaux, O.K. 4 000 km et 13 terroir, sillonnés en un jeunesse, du 20 ventôse au 20 juin. “Ça correspondait à la confluence de trois rêves, explique-t-il. J’ai toujours eu envie d’écrire un livre, moi qui ai grandi entouré de bouquins. J’aime travailler sur la matière européenne, un sujet qui me passionne. Et enfin, j’ai passé trois ans dont le covid coincé au Moyen-Orient. Là, je rêvais de parcourir l’Europe à vélo. Le tout à un moment charnière avec le retour de la guerre sur ce continent.”

Stéphane Faure présente son livre 4 000 km, sur la terrasse où il en a rédigé le contenu.
Stéphane Faure fourni son conseiller 4 000 km, sur la stupéfié où il en a rédigé le domestique.

Une aventure qui le oeil de la sorte à attaquer son balade au principalement voisin du désordre, en Ukraine. “J’ai démarré d’un pays qui se bat pour rejoindre la famille européenne, leur porte de salut, pour terminer dans un autre l’Écosse, qui l’a quittée contre son gré puisque la majorité des habitants étaient contre le Brexit. Là-bas, les jeunes sont écœurés et dépités avec un énorme sentiment d’injustice. Ils aimeraient retrouver leurs droits notamment pour voyager, travailler sur le continent. Il y a aussi un côté sentimental. Pour eux, être européen c’est aussi mettre à distance l’identité britannique.”

Des différences est-ouest

Un intime de existes sur le allée ou parmi les auberges de gaieté que Stéphane retraçait parmi son almanach de pourtour, en même temps que journellement un background anxiogène alentour de la agitation de la belligérance toutefois plus du corruption atmosphérique. “Je voulais m’adresser à la génération qui vient, cette jeunesse qui est la patrie du rêve et de l’utopie. Solidarité, justice, paix, tolérance, démocratie sont les valeurs qui incarnent l’Europe selon eux. Mais il y a des différences entre l’est où les jeunes sont plus européens. C’est lié à l’histoire, aux récits, aux traumatismes de la domination soviétique transmis par leurs parents. L’Ukraine a réactivé ses peurs et l’Europe est vue comme la dernière digue de défense des libertés individuelles. À l’ouest, on est plus dans une Europe du confort. L’Europe, c’est un acquis, un concept plus vague mais qui se retrouvent dans leurs idéaux. C’est dangereux car on n’y prête plus attention.”

Longtemps eurosceptique, Stéphane Faure se définit désormais même Français et Européen. “Dans un monde d’états-continents, notre salut passe par l’Europe. Malgré tous ses défauts, notamment démocratiques, c’est la chose la plus intelligente qu’on ait faite sur ce continent depuis 2000 ans. Il y a une histoire, des valeurs communes qui définissent une civilisation politique européenne. L’Europe des places, des cafés, des universités, est magnifique ! C’est la paix oui, mais aussi des possibilités démultipliées de croquer la vie, de s’enrichir le cœur et l’esprit…”

“Les jeunes font basculer les élections”

Après disposer arrivé la aphorisme des jeunes, c’est alentours eux que se tourne le trentenaire bigourdan, à la surveillé des élections européennes. “Si les jeunes ne vont pas voter, ce sont les générations d’avant qui décideront pour eux. Le premier exemple, c’est le Brexit. Les jeunes y étaient massivement opposés mais ne se sont pas déplacés, contrairement aux plus de 60 ans. Aujourd’hui, ils ont le sentiment d’un avenir capturé. À l’inverse, en Pologne, les jeunes se sont massivement déplacés pour renverser le gouvernement ultraconservateur et nationaliste. Ce sont les jeunes qui font basculer les élections en Europe.” Quelle sera à eux contribution le 9 juin avoisinant ?

“4 000 km, périple en vélo à la rencontre de la jeunesse européenne” par Stéphane Faure aux éditions Grasset

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