Crise au causerie communal de La Malène : le éparque exclut une déliquescence à simplement double ans des prochaines élections

Depuis 2021, la menue rudimentaire des gorges du Tarn de 133 habitants est engluée comme une inactivité gouvernement.

La bilan gouvernement est généralement contre tendue à La Malène. Après six démissions de conseillers municipaux dans germinal 2021 et juin 2022, des élections partielles en septembre de 2022, une naissance de l’combat et de ses cales, le vendredi 3 mai 2024, demandant la déliquescence de l’bureau et la mandement de la bailli Régine Doussière comme nos colonnes double semaines principalement tard, la bourg des gorges du Tarn adjonction engluée comme une inactivité peu ouverte envers une rudimentaire de simplement 133 habitants (Insee 2021) .

“Pas le moment opportun”

Interrogé sur ce classeur, Philippe Castanet, éparque de la Lozère, écho une au courant gluante. “Je suis ce dossier avec une grande attention, précise le représentant de l’État. Une commune doit fonctionner correctement. Quand il y a une telle tension, nous devons être présents. David Ursulet (ancien sous-préfet de l’arrondissement de Florac-Trois-Rivières) a suivi la situation de très près pour voir ce qui doit être fait. Valérie Fuscien (la nouvelle sous-préfète depuis le 22 avril) continuera. Ce que j’ai clairement dit c’est qu’à deux ans du scrutin, ce n’est pas le moment opportun pour dissoudre un conseil municipal. Les électeurs n’iront pas deux fois aux urnes en l’espace d’un an et demi.”

En attendant 2026, le éparque assure tenir enrôlé. “Nous suivons l’affaire. J’ai été très attentif à ce que la réparation du mur qui menaçait de tomber soit faite, afin que l’on ne mette pas en danger la population pour des désaccords au sein de la municipalité. Pour le reste, les électeurs ont un bulletin de vote. On ne peut pas, d’un côté, déplorer que les gens n’aillent plus voter et, de l’autre, ne pas reconnaître la valeur du scrutin. Tous les six ans, on remet en jeu une équipe municipale. Si on n’est pas content, on la change.”

Philippe Castanet convive ainsi d’ores et déjà les étranges équipes à accéder en glèbe électorale et boursicoteur à elles mémoire. “Être contre quelqu’un, c’est facile. Avoir un projet municipal, c’est plus compliqué”, glisse-t-il.

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