“J’ai une trouille bleue de ce procès” : un vieillot médiateur jugé afin “agression sexuelle” sur sa suppléante

Après la empoignade par médias interposés, voilà arrivé le heure des prétoires afin Pierre Cabaré, ex-député (LREM, vieillot nom de Renaissance) et Lucie Schmitz, sa suppléante de l’royauté et infirmière ministre. L’vieillot élu de la ouverture préfecture de la Haute-Garonne sera jugé ce 28 mai précédemment le chambre de Montauban afin “harcèlement sexuel par personne abusant de l’autorité que lui confère sa fonction”, “agression sexuelle”, “exhibition sexuelle” et “harcèlement moral dans le cadre du travail”. Pour avancer des débats sereins, le excommunication a été transféré de la Haute-Garonne au Tarn-et-Garonne.

A dilapider itou :
Après la gouvernant, la information vie de Pierre Cabaré, vieillot médiateur de la Haute-Garonne, poursuivi afin clash sexuelle.

L’vieillot prosélyte de l’UDI (Union des démocrates et indépendants) et de Cap 21 (clique environnementaliste) témérité jusqu’à sept ans de ergastule. Dans à nous oeuvre du 14 germinal 2022, la plaignante expliquait à La Originale que pendant les 18 traitement de à eux rapprochement, le prothésiste dentaire aujourd’hui à la refuge “n’avait pas arrêté de lui tenir des propos salaces et de lui demander de coucher avec lui.” Elle a supplémentaire qu’il lui avait “mis plusieurs fois la main aux fesses” et tenté de “l’embrasser de force.”

La “contre-attaque” a événement vaste feu

À moins d’un attentisme d’écoute, le excommunication qu’attend la plaignante depuis mitoyen de cinq ans devrait finalement agissant la halo sur ce registre. La Blagnacaise avait porté désapprobation quant à son maître le 6 août 2019. En juillet 2021, Pierre Cabaré avait lui itou porté désapprobation quant à sa suppléante afin “agression sexuelle”, quaker que sa cadette de 20 ans “lui aurait caressé le postérieur lors de leur campagne législative.” La riposte a événement vaste feu. Le châssis a classé sinon prolongation la désapprobation déposée par l’élu.

Il dit nourriture un martyre depuis l’procédure au pénal de sa suppléante : “J’ai été en arrêt maladie. Depuis, je suis suivi par un psychologue et je prends des antidépresseurs. J’ai une trouille bleue de comparaître devant un tribunal correctionnel. C’est épouvantable. Personne n’aurait envie d’être à ma place. Il faut qu’on arrête de penser que tous les hommes sont des menteurs lorsqu’ils affirment leur innocence.”

“Il aurait été sans doute plus simple…”

L’vieillot médiateur maintient la même bordure de apologie depuis le immersion de l’occupé : “Il aurait été sans doute plus simple pour moi de reconnaître les faits, j’aurais eu moins d’ennuis… Je le redis une fois de plus, je n’ai jamais harcelé ou agressé sexuellement Lucie Schmitz. Je fais confiance à la justice de notre pays et j’espère qu’à la fin des débats je serai relaxé.”
Son primitive collaboratrice a toutefois de solides arguments à agissant mériter. Quatre de ses ancestraux collègues, attachés parlementaires malgré de l’ex-député la soutiennent. Deux d’pénétré eux ont affirmé possession été témoins d’agressions sexuelles de Pierre Cabaré sur Lucie Schmitz. Les juges devront découvrir la plausibilité de ces témoignages. Cela devrait s’vérifier dangereux afin une hypothétique damnation de Pierre Cabaré.