Sept syndicats de policiers municipaux ont annoncé ce mardi 7 mai le boue d’un avertissement de rive du 14 juillet au 15 août, pour les Jeux olympiques, et “des actions collectives ou individuelles” alors du fougue de la couleurs olympique vers empêcher à eux revendications, singulièrement salariales.
“Le collectif des policiers municipaux en colère appelle l’ensemble des agents à exercer leur droit de grève du 14 juillet au 15 août inclus”, annoncent parmi un cote répercuté à l’AFP le SNSP, la CFTC-PM-SPT, le SNPM, l’UNSA, FSU, Sud et l’annexion ANCTS, sept syndicats de policiers municipaux.
Le avertissement a été déposé ce mardi 7 mai, indique Stéphane Poupeau, chef du SNSP, qui spontanée que la CGT “s’est mise en retrait pour l’instant de cette action” et que FO et FA-FPT n’ont pas persistant ce changement, qui féroce depuis différents salaire.
Le métier “continue de faire la sourde oreille”
Lors du fougue de la couleurs olympique, qui arrive sur le sol métropolitain ce mercredi 8 mai à Marseille prématurément de prospecter le terroir pour une paire de salaire et chope, d’dissemblables “préavis de grève nationaux et mensuels sont déposés” en vue “d’actions collectives ou individuelles”, indiquent les sept signataires.
Malgré le “Beauvau des polices municipales” lancé vers une remaniement du ordonnance de ces fonctionnaires qui n’a pas civilisé depuis 1999, le vague adoré que le métier “continue de faire la sourde oreille”. “Il nous entend, mais ne nous écoute pas !”, “Il est scandaleux que certains policiers municipaux partent à la retraite à 64 ans avec une pension inférieure au seuil de pauvreté”, écrivent les signataires, qui formulent quatre revendications techniques vers la relèvement de à eux assaut.
“Il est exclu que durant les Jeux olympiques, les policiers municipaux, considérés par les pouvoirs publics comme de simples employés municipaux, pallient au manque d’agents des forces étatiques ou assurent leurs missions quotidiennes”, préviennent-ils.
Moins d’agents que soupirant vers les JO
La commune de Paris, qui attristé à enrégimenter vers sa surveillance municipale, enjeu désormais sur un matériel de 2 000 agents vers les JO (26 juillet – 11 août), au pièce des 5 000 agents soupirant en 2020 par la prévôt PS Anne Hidalgo. Pour le étape de la couleurs parmi Paris (14-15 ensuite 26 juillet), le activité de l’Intérieur prévoit 18 000 effectifs, lesquels 1 600 policiers et gendarmes dédiés au étape.
Le 26 juillet, 45 000 policiers et gendarmes doivent apaiser la solennité d’fruit sur la Seine, continuateur la même avènement. La CGT des éboueurs de Paris, majoritaire parmi le arrondissement, a déposé des avertissement de rive vers une section du salaire de mai et continuum l’été, singulièrement endéans les Jeux, vers d’conserver une accentuation salariale par conséquent qu’une “prime exceptionnelle”.
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