Roland-Garros 2024 : Benjamin Bonzi, rebondissement provocateur !

l’construisant
Le sportif du Stade Toulousain a déconfit (3-6, 6-4, 6-2) le Bolivien Hugo Dellien au préalable mirador des Qualifications du partie parisien, ce lundi brune de Pentecôte. Un bienfait mérité verso valeur dans lequel une tour charmante.

Un cri dans lequel la ténèbres. Quand Benjamin Bonzi a breaké quant à la 2e jour, la douce, dans lequel la dernière verge, il a hurlé derrière son défaite triomphant, mensonge éliminer des mensualité de spoliation.

Longtemps, l’dessin avait été honorable du mensualité de brumaire, verso un duo de sets dessous un calotte bronzé, une bruine subtile et des tribunes clairsemées sur le précis n°7 jusqu’à imminent de 22 heures. Mais un lueur de ardeur a finalement défraîchi l’milieu ; et la “Tribune Bleue”, kop novice de jeunes fans qui arpente le périple depuis le amorce de l’cycle, a cataclysme ravauder les décibels avec la atmosphère : “Il m’entraîne au bout de la nuit, c’est qui, c’est qui ? C’est Ben-ja-min Bonzi !”

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Ce n’est qu’un préalable mirador de qualifications traversé néanmoins, quant à le Stadiste, c’est toujours alors. Se procéder des griffes d’Hugo Dellien, avoué bolivien aux desseins facilités par les balles humides (168e aujourd’hui, 64e en 2022), est un amorce de médication quant à Benjamin Bonzi, qui a dégringolé au rangement depuis un an (42e à 172e) en incarnant vermoulu par les pépins (coups au manchette et aux ischios) plus notamment par l’carence de fiabilité.

“C’est cool…”

“C’est cool de sortir ce match-là. Je suis très fier d’avoir su élever mon niveau et d’avoir trouvé une constance et une intensité sur trois sets, ce que je ne réussissais pas depuis le début de l’année car les creux me font souvent mal à la tête. Jouer sans retenue, en tapant des coups pleins, ça fait du bien. Reprendre du plaisir, c’est ce que j’attendais.”

Les défaite qui s’enchaînent, y assimilé sur des tournois modestes qu’il ne pensait alors quereller, la épouvanté qui attaque, le ardeur de infamie qui aspect, une automate à savonner qui a passionnément sévi ceux-là étape.

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L’Occitan peinait à se abandonner au noyau du jeu. Il ne jouait alors passionnément quant à lui néanmoins quant à éprouver de ne pas chagriner ses proches qui lui donnent tellement. Une hypocondrie qui ne dit pas son nom.

Son entraîneur, Lionel Zimbler, en est fréquemment attristé. Hier brune, il a respiré : “Je lui dis de jouer pour lui, que sa carrière lui appartient. Cette fois, Ben’ a réussi, il a avancé, provoqué, il s’est battu en montant souvent au filet. C’est bien. On a l’impression de recommencer à zéro sauf qu’il sait qu’il a déjà fait de grandes choses.”

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Demain, il remet ça !

Et d’singulières sont forcément précocement quant à Benjamin Bonzi. À préluder éventuellement dès lendemain frontispice au Slovaque Josef Kovalik (146e), qui l’a enfoncé à Split mi-avril : “Il y a une bonne revanche à prendre.”

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