Son coalition Reconquête placard qu’il va révoquer anathème, subséquemment cette contestation allée ce chahut 4 mai, vis-à-vis le rencontres qu’il devait étreindre envers les élections européennes, comme l’quelquefois au Palais des Congrès d’Ajaccio.
Le limogeage à Ajaccio d’Eric Zemmour, le dirigeant du coalition Reconquête, a été affairé ce chahut 4 mai, où un réunion d’alentours d’une quinzaine de militants du PCF et de la CGT lui a réservé un alentours extraordinairement défavorable, l’une d’elles-mêmes lui imposant un œuf sur l’aide, vis-à-vis de réceptionner un beigne vice versa, accompagnant des images diffusées par Corse Matin.
Eric Zemmour a été poursuivi comme les allées du marché aux tumulte de “Fascisti fora” (les fascistes oust, ndlr), “dégage !”, “la Corse n’est pas à toi !”, “En Corse, on est résistants, on n’est pas collabos !”
“On ne m’intimide pas”
“Je vous emmerde”, à eux a répondu Éric Zemmour vis-à-vis de contrarier : “Ce sont des imbéciles violents qui croient m’intimider. Mais moi, je suis comme les Corses, on ne m’intimide pas”.
Ma Corse, c’est celle-là des Corses qui défendent à eux particularisme, pas celle-là des milices communistes et des punks à clebs qui font opprobre aux Corses et détestent la France. pic.twitter.com/FkduMTKbWT
— Eric Zemmour (@ZemmourEric) May 4, 2024
Il a identiquement tweeté un peu comme tard :“Ma Corse, c’est celle des Corses qui défendent leur identité, pas celle des milices communistes et des punks à chien qui font honte aux Corses et détestent la France”
Les responsables de son coalition ont montré qu’ils allaient apporter anathème “contre ces individus d’ultragauche”.
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