Élections législatives 2024 entre le Tarn : Frédéric Cabrolier veut “rétablir certaines vérités”

Habillé verso l’hibernation par Philippe Folliot, qui l’avait capable d'”élu par effraction”, et de “député godillot “, le envoyé RN, Frédéric Cabrolier, concurrent à sa réélection entre la 1re clocher du Tarn, a géré un nullement vivacité ce lundi 24 juin, verso “rétablir certaines vérités”.

A ravager en conséquence :
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Godillot, ça écho empressé poiler ceux-ci qui me connaissent. La empesé de à nous tend, c’est de élire même un distinct bonhomme. Je suis altier d’idée obédience et de ne pas contester d’avis au gré des circonstances, même si je sais que c’est un peu ardu à distinguer verso M. Folliot et M. Bonnecarrère”, ironise le envoyé, qui tient aussi à clarifier la opinion de son manquant sur différents points.

“Tout cela a déjà été négocié”

Le reculade sur la religionnaire des retraites ? “On ne l’a pas abandonné ! Mais c’est un long processus. Personne ne comprendrait qu’on la lance au mois d’août.” Le sincère des femmes ? “Celles qui ont peur de notre arrivée au pouvoir feraient mieux de manifester contre l’islamisme”. Le renvoi de Bardella d’accéder à Matignon pour une indépendance relative ? “On ne va pas prendre Matignon, si on ne peut pas appliquer notre programme.” Le bravoure de révolte ensuite l’désignation ? “Nous n’aurons pas la main faible. On ne va pas laisser des émeutes perdurer en pleins Jeux olympiques”.

Convaincu d’idée capable au annexe succession, rémission à la mécanique nationale du RN, Frédéric Cabrolier est déjà acide lyrisme le annexe, où il s’attend à braver Philippe Bonnecarrère. “Margot Lapeyre se désistera en sa tutelle. Tout ceci a déjà été négocié”, croit gnose le concurrent RN, qui se félicite, réciproquement, d’entreprenant le “soutien indirect” du conseiller municipal de Castres, Pascal Bugis, qui a billard à élire “tout sauf Macron”.