Infox : France, Allemagne et Pologne impartial d'”attaques permanentes” de la Russie

D’après l’Observatoire communautaire des médias digitaux, à couple jours du appât des élections européennes, différentes territoire lequel la France, l’Allemagne et la Pologne subissent des guets-apens de désinformation de longue étendue. La vice-présidente de la Commission communautaire, Vera Jourova, forteresse de discerner exonder des “deepfakes” de politiciens et accuse le tissage Telegram parmi différentes territoire de l’Est.

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La France, l’Allemagne et la Pologne sont devenues, en montée des élections européennes, des cibles d’guets-apens permanentes de désinformation russe, a appuyé, mardi 4 juin, la vice-présidente de la Commission communautaire, Vera Jourova, à couple jours du appât du dépouillement.

“D’après l’Observatoire européen des médias numériques (EDMO), avant les élections, il y a trois grands pays attaqués en permanence par la Russie : il s’agit de la France, l’Allemagne et la Pologne”, a droit la régisseur alors d’un point-presse.

“Des attaques de désinformation de plus grande ampleur ont été constatées sur des sujets spécifiques”, a-t-elle poursuivi : en France, elles-mêmes concernent les Jeux olympiques et la Nouvelle-Calédonie, en Allemagne, “les questions d’immigration et de sécurité”.

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La agent tchèque, bondée des possibilités et de la diffraction, a confirmé que la Pologne avait “longtemps été à l’abri” uniquement qu’lui-même incarnait impartial depuis hier par la accroissement d’un “narratif selon lequel les réfugiés ukrainiens deviennent un fardeau insupportable pour la société”.

Elle a donc village une cyberattaque vers l’exercice de fondé polonaise PAP voie vendredi, qui a donné local à une démantibulé information annonçant la recrutement de 200 000 Polonais envers aventurer défier en Ukraine. “N’est-ce pas prévisible, ce genre de message susceptible de faire monter l’adrénaline ?”, a-t-elle commenté.

“La propagande russe repose sur une bonne connaissance des sensibilités de chaque pays”, a appuyé Vera Jourova.

Telegram pointé du orteil

Elle a supplémentaire que cette dissémination se faisait “à flanc le tissage Telegram” parmi des territoire alors la Slovaquie, la Bulgarie et les territoire baltes.

La poste chiffrée n’est pas incluse parmi la mémoire des “très grandes plateformes” – sur-le-champ puis de 45 millions d’utilisateurs parmi l’UE – soumises par la loi communautaire sur les tertiaire digitaux (DSA en anglo-saxon) à des charges renforcées.

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“Telegram n’est pas encore de notre compétence, mais nous comptons ses utilisateurs, parce qu’ils nous ont annoncé 42 millions”, a précisé Vera Jourova.

La agent communautaire s’est hier rendue aux Bordereaux-Unis, où lui-même a rencontré les dirigeants de Google, YouTube, X et par vidéoconférence iceux de TikTok et Meta, réclamant de à eux section “une vigilance maximale” façade aux “possibles campagnes d’ingérence et de désinformation de la Russie, qui peuvent sembler une menace lointaine, depuis la Californie”.

Elle a appuyé que ces géants du net devaient étaler “les ressources adéquates” envers prétendre la défiance des contenus.

Ils doivent donc se bomber à l’renvoi de dissémination des contenus des médias qui ont été sanctionnés par l’UE alors des organes de persuasion de Moscou, a-t-elle insisté, ajoutant que des “textes émanant de forces pro-Kremlin étaient encore récemment visibles en bonne place sur certaines plateformes”.

Un “deepfake” excitable de agir effroi

À couple jours du appât des élections qui se disposent de jeudi à dimanche parmi les 27 territoire de l’UE, lui-même a estimé qu’il y avait invariablement un aplomb envers “qu’un ‘shrapnel’ (obus rempli de balles) de dernière minute soit envoyé dans l’espace informationnel”.

“Il peut s’agir d’un ‘deepfake’, d’un politicien annonçant quelque chose susceptible de faire peur à la société, de l’ébranler”, a-t-elle poursuivi.

Cela représente un “danger accru car n’y aura pas suffisamment de temps pour réagir”, s’est-elle inquiétée.

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Opportunément des “deepfakes”, techniques de combinaison qui permettent de aviver des vidéos ou images trompeuses, lui-même a appuyé que les plateformes devaient se ajuster à à elles engagements, de vraiment marquer ces contenus et de les rompre s’ils existaient combinés à de la désinformation.

Avec AFP

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