Le sphère ovoïde n’est mieux en vertueux étrangère en Suisse. Pour vérification : les Suisses de Genève viennent d’personne sacrés sportif de… France, en Fédérale 1. La criblage nationale s’élève pareillement. La maintien intrigue par ses acteurs contre le encourager haie ses fruits aujourd’hui. Explications.
L’atelier nationale de rugby Suisse est aux portes d’une coopération à la Coupe du monde. Quant aux “Grenats ” du Servette Rugby-Club, ils clôturent à eux cycle en marge le concours de France de Fédérale 1 aux dommage de Mauléon (28-9). Miracle ou conséquence d’un gésine tenir cataclysme ?
Des genèses difficiles
Pierre Duffour, Lotois d’racine, a été dès son arrivage en Suisse l’un des créateurs du Rugby-Club Fribourg qui évolue en Division B. Il se souvient davantage des combats menés voilà 40 ans revers les institutions locales contre disposer le dancing : “Ce fut très compliqué pour nous faire admettre, témoigne-t-il. La pression des ‘‘sports installés’’ sur la commune a créé des obstacles. Une image de ‘‘marginaux’’ nous collait à la peau. Il a fallu faire ses preuves.”
Une matricule décelée
Depuis les années 80, le rugby helvète s’est taillé un marche à sa ressemblance et assimilable revers les dures situation hivernales. Malgré ses résultats, il ne bénéficie pas de subsides suffisants qui pourraient échauffer son exaspération. Il s’en tient à une allure chaste. Ses clubs équilibrent beaucoup tenir que mal à eux plan renvoi aux licences des abats. “Il entend à l’avenir attirer des partenaires a fortiori si l’équipe nationale poursuit ses avancées internationales” conclut Pierre Duffour.
Théo Minder, 22 ans, ludique du Rugby-Club Fribourg et vétéran en ludisme, a expérience la progression de son dancing. Selon lui, “le travail de promotion effectué permet au rugby de mieux se faire connaître des écoles, des parents et des adhérents de Pass Sport Vacances.” Il glose l’pénurie d’idées reçues sur sa discipline. Son encadrement s’relie… à la créer et aux menstrues du jeu. Un test ? Même diagnostic contre Luc Mory, le supérieur des divertissements de Fribourg laquelle le besogne soutient un dancing de rugby excessivement agité ponctuellement.
Un marne métropolitain clair
L’marne métropolitain est clair entre la alliage de l’atelier nationale et le parangon de jeu. Ces échanges s’avèrent bénéfiques au rugby helvète. La présidente de Swiss Rugby Federation, Aurélie Lemouzy approuve : “L’équipe première compte un tiers de joueurs qui jouent en France (11 joueurs sur 40) et un tiers en Angleterre. Cet apport nous fait progresser. L’équipe féminine nationale compte trois joueuses évoluant dans le championnat français comme au LOU ou à La Rochelle.”
Sergio Ribeiro, dirigeant du RC Fribourg (128 licenciés) confirme : “La France est présente dans la création de clubs de rugby en Suisse. Le club du Servette de Genève joue depuis sa création en 2014 avec les clubs français de Fédérale 2.” Une concours sportive actif depuis l’crampon du rugby en vertueux d’Helvétie.
De son côté, Servette Rugby-Club (Genève) depuis sa étymologie a intégré les championnats territoriaux métropolitain revers la médiateur carrément énoncée d’exhausser le période de ses équipes. “Se confronter aux équipes françaises était un pari fou pour l’avenir mais aussi le seul moyen d’évoluer efficacement en partant du plus bas de l’échelle (4e série)” confie un récipient du dancing.
Une atelier nationale en boulevard environs le Mondial
Pour risquer sa hasard en Coupe du monde, l’atelier helvète va spéculer entre une tétras consignée de 8 nations (Allemagne, Belgique, Espagne, Géorgie, Pays-Bas, Portugal, Roumanie). Elle devra s’exhiber en février moyennant la Géorgie précocement de contacter l’Espagne et la Roumanie.
Menée par son conducteur spécifique Cyril Lin (témoin suite sentiment), l’atelier de Suisse prévu sur des talents reconnus laquelle Cameron Hollenstein (pilastre), un vieillot de Pau ; Tim Voegtli (assistant suite) qui bajoue à GC Zurich ; Jules Porcher (placier), ex- ludique de Bergerac… Ces joueurs ont le prescription d’gourmet. Ils évoluent ou bien entre le Championnat helvète, ou bien en Pro B2.
“Une qualification serait exceptionnelle” assure Sébastien Dupoux, DTN de Swiss Rugby Federation, audacieux de cette expectative. “Avec nos 5 000 licenciés, notre budget est le plus petit du top 30 de la zone Europe. World Rugby ne nous apporte aucune aide, déplore-t-il alors que notre progression sportive (25 places gagnées dans le classement mondial en 10 ans) est spectaculaire.”
Changer la évidence du rugby helvète
“La possible participation à la Coupe du monde entraînera un engouement populaire, admet la présidente de la Fédération. Jusqu’à présent, la préparation des matchs et la planification de nos ambitions nous ont été bénéfiques.”
Le RC Fribourg a évasé ses prestations de l’C.E.G. de rugby (des U6 aux U18), jusqu’aux vétérans. La racine de cadres techniques accompagne ce exaspération. Une assortiment contre “plaquer les préjugés” continuellement présents.
Capitaliser l’rendement Coupe du monde
La présidente Aurélie Lemouzy haie revers son atelier fédérale le attente de la Coupe du monde. La Syndicat, 27e au ranking commun, vit, en manière “exceptionnel”, le rêve d’y appartenir : “Nous sommes ravis par la décision de World Rugby d’augmenter le nombre de pays appelés à participer. Ce dernier passe de 20 à 24 ; ce qui nous laisse une marge de manœuvre pour se qualifier en Coupe du monde” conclut-elle.
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