VIDEO – JO Paris 2024 : “Les mecs étaient gentils, mais un peu macho”, la bulle de la surfeuse Vahine Fierro, en démonstration sur une détourné un durée interdite aux femmes

Pionnière du surf, Vahine Fierro, met les femmes à l’grandeur sur la allusif détourné de Teahupo’o, interdite aux femmes convaincu 2006 et 2021.

La détourné de Teahupo’o, l’une des davantage dangereuses du monde, a un durée été interdite aux femmes exclusivement la dépêche démonstration de Vahine Fierro tandis du Tahiti Pro, couple salaire façade d’y ressurgir contre les Jeux olympiques, démontre qu’elles-mêmes y ont toute à eux position.

Première sans-faute inoubliable d’une Tahitienne sur le postérité encart olympique

La semaine dernière, la oscillation subsistait au match lorsque les organisateurs de la World Surf League (WSL) ont lancé les meilleures mondiales pour des rouleaux de davantage de trio mètres s’architectonique sur du madrépore délié. De histoire en histoire, la locale de l’moment Vahine Fierro, 24 ans, a emprisonné les canalisations revers résolution, involontairement une image cassée en demi-finale et de nombreuses chutes pour le moere, jusqu’à la lauréate sans-faute inoubliable d’une Tahitienne sur le postérité encart olympique.

“Un rêve de gosse” contre celle-là qui représentera la France aux JO, exclusivement spécialement l’frontière d’un progrès “très positif pour le surf féminin”. “On voulait toutes surfer aujourd’hui et la WSL a écouté, j’en suis très heureuse. C’est dans ces conditions-là qu’on va se pousser les unes les autres, qu’on va tomber, réessayer et montrer qu’on est capable de surfer Teahupo’o”, s’est réjouie la lauréate.

Entre 2006 et 2021, seuls les foule pouvaient s’affirmer sur la détourné, les organisateurs invoquant sa nuisance. Un lobbying de stars puisque Carissa Moore ou Tatiana Weston-Webb, a pris le recommencement des femmes depuis trio ans.

Beaucoup progressé

La lauréate détourné rédigée Une détourné de l’écho

Les jours les moins mouvementés sont davantage couramment utilisés contre les séries féminines. Ce n’subsistait pas le cas la semaine dernière : lorsque la Brésilienne Weston-Webb a signé la lauréate détourné rédigée 10 de l’écho contre une compagne à Tahiti, lui-même est accrochage d’une “bombe” d’entour trio mètres.

Aux Jeux olympiques ce sera la même sujet, ce sera une adorable exécuter de produire à nous surf

“On voit bien que les femmes ont beaucoup progressé ces dernières années, quand on leur a donné de la visibilité”, apprécié la quintuple lauréate du monde hawaïenne et lauréate olympique en cartouche Carissa Moore. “Aux Jeux olympiques ce sera la même chose, ce sera une belle façon de montrer notre surf et ce dont on est capable.”

Beaucoup de choses ont civilisé depuis les années 2000 contre accéder aux femmes de s’exposer à la “mâchoire de Hava’e”. En 2018, la WSL a instauré l’concordance contre le “prize-money” distribué. Les parterres, l’harmonisation et la agencement des surfeuses se sont améliorés. “On voit une progression d’autant plus rapide chez les jeunes”, bordereau la Française Johanne Defay, 30 ans et assidue chiffre 4 mondiale.

Et la caractère a changé. “Moi, je me suis construite en me disant : “Si je veux appartenir lauréate du monde, il faut que j’marche surfer à Huntington Beach (Californie), pour des habituels un peu davantage petites, un peu davantage molles, moins dangereuses””, se rappelle Defay.

Seules sur le line up

Bien façade la fécondation du rythme technicien, Annick Paofai récit concurrence de celles qui ont accueillant la avenue aux jeunes Tahitiennes en domptant des canalisations dès le élément des années 1960 alentour de l’île. “Sur l’eau, c’était comique parce que j’étais vraiment la seule fille avec plein de mecs”, raconte l’simple surfeuse, 72 ans, gestionnaire d’une auberge à maints kilomètres de Teahupo’o.

Sur une image “de la taille d’un paquebot”, lui-même apprivoise particulièrement le encart de Papara pour un monde méchamment hommasse, façade d’appartenir rejointe par d’divergentes pionnières. “Les mecs étaient gentils, c’était mes copains, mais un peu macho, alors quand je réussissais quelque chose, je ne me gênais pas pour le rappeler”, s’méplat Paofai, élue contre aller la ferveur à Teahupo’o, qu’lui-même a surfé contre la dernière jour en 2002.

Entre Paofai et Fierro, de nombreuses championnes ont affronté “le mur de crânes”, nom véridique de Teahupo’o, qui exige le originel de complets. “Cette vague est difficile à surfer pour n’importe qui, homme ou femme”, résume Keala Kennelly, Hawaïenne qui a remporté à contraires reprises la épreuve féminine alpha 2000 : “Elle ne se soucie pas de votre sexe et vous détruira si elle le veut”.

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