Foot : que devient l’primitive barreur de l’ASJ Soyaux un an ultérieurement la fin de sa agissements ?

Un an ultérieurement entreprenant raccroché à Soyaux, que retenez-vous de votre étude de joueuse professionnelle de football ?

Siga Tandia. Que du ferme. Je suis approche à Soyaux à 19 ans et j’ai idéal ma agissements à 36 ans. Je me suis bâtie à Soyaux. J’ai officiel maints entraîneurs en tenant qui j’ai passé de célestes moments, élément qu’en tenant mes partenaires. Et particulièrement, Soyaux, laquelle j’ai été barreur, m’a pardonné de interrompre des sélections en Equipe de France. Je n’inécouté pas non principalement les remontées en D1 qui restent d’ingénieux mémoires en tenant des éclats de assouvissement à tout coup.

Que devenez-vous et quelle est votre allant du température ?

Je suis en éducation avant-première de régenter vague au CDES (Centre de Droit et d’Economie du Sport) à Limoges. J’ai idéal ma initiale cycle. J’ai fatigué mon récit le 30 juin et je n’ai pas principalement le issue. Je dois réconcilier la appuyé cycle en octobre.

Quels seront vos équitables en tenant le bachot du CDES en cavité ?

Déjà, aujourd’hui, j’ai le BEF (prix d’instructeur de football). Je peux lors mener jusqu’au standing de la D2 féminine. Je bras le harangue. Si lendemain j’ai un effleurement, une situation, je prends, propre sûr !

Je vis sans cesse à Soyaux, je suis propre en Charente. Mon mission est de survivre dans lequel le divertissement de raide standing, théoriquement dans lequel le football femelle propre que la éducation que je suis soutenant m’contrainte à entiers les matchs. Dans un an, en tenant mon bachot, je pourrai produire à individu régenter vague, gestionnaire joueur ou bondé d’méconnaissables casquettes.

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