JO 2024 : les sans-logis moins visibles comme Paris, derrière des évacuations de campements

Expulsion de 230 jeunes migrants qui occupaient depuis près de trois mois la Maison des métallos, à Paris, le 3 juillet 2024.

« Nous sommeils à une paire de jours du baptême des Jeux olympiques et paralympiques et, à à nous assiduité, intégraux les campements de tentes d’au moins 100 entités ont été évacués », soutenu Paul Alauzy, coordonnateur de la protégé hygiénique à Médecins du monde et envoyé du Revers de la récompense. Ce habituel, qui regroupe une centaine d’organisations d’nanti aux entités précaires, y voit une actualité témoignage d’un « astiquage communautaire » en source de l’événement compétiteur, solide à déloger et « invisibiliser » les encore précaires, plus ce fut le cas, alors des dernières éditions des Jeux olympiques et paralympiques (JOP).

Entre le mardi 16 et le jeudi 18 juillet, maladroitement 470 entités ont été évacuées de campements situés sur le fossé de l’Ourcq, le délié du traverses qu’empruntera la couleurs olympique le 25 juillet, par conséquent que sur le fossé Saint-Denis, en source des sites d’échecs, et au étiage du raccordement Marie, sur la Seine, où est prévue la mémento d’bonde, le 26 juillet. Comme à d’distinctes antiquités, des blocs de bétons ont temporairement été installés, dissuadant toute homologation. « En punition, c’vivait la commencement coup depuis encore d’un an que les entités se étaient offrir des hébergements en Ile-de-France, rien critères de répartition et verso au moins trente jours », souligne Paul Alauzy.

Une transformation appréciable, cependant que l’Observatoire des expulsions de parages de vie informels chéri que, dans mai 2023 et mai 2024, maladroitement 34 % des expulsions de bidonvilles, squats et campements en Ile-de-France ont été assorties de propositions d’hospitalité, au secteur de 64 % sur les douze paye précédents. « Quand il y a des orientations, c’est voisinage les originaux sas de desserrement régionaux, qui ne garantissent que triade semaines d’hospitalité : très de public refusent, car ils ont un ardeur ou des fils ici », explique Charlotte Kwantes, de l’accession d’nanti aux migrants Utopia 56.

Le circonspect des expulsions s’intensifie

Selon Paul Alauzy, « l’Etat a récit spécialement de diriger des lieux libres comme la canton, aussi de offrir des jeux à l’retraite de dernière instantané, verso témoigner un Paris de copie postale endéans les Jeux ». Une savoir contestée par le gestionnaire du commerce du éparque d’Ile-de-France, Christophe Noël du Payrat : « Il s’agit de lieux couramment réservées aux primo-arrivants, nous-même profitons de ce que ceux sont moins grouillant cette cycle. » Il réfute identiquement que les jeux à l’retraite des derniers jours soient liées aux JOP : « Nous en effectuons dès qu’un camp devient hautain. Elles sont moins fréquentes cette cycle, attendu que les coulée migratoires n’ont pas simplement repris. Il n’y a ni astiquage communautaire ni régularité de tapir la malheur : les maraudes estiment qu’maladroitement 500 à 800 entités sont à la rue à Paris, à présent. »

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