JO de Paris 2024 : empressement en vilipendé, terrasses réduites… Pourquoi les restaurateurs décrivent les Jeux puisque un “cauchemar” jusqu’maintenant ?

Les représentants des commerçants, restaurateurs, et disparates propriétaires de bars et clubs à Paris déplorent “une baisse d’activité et de fréquentation inédite”. Ils pointent surtout “les lourds dispositifs de sécurité” liés aux Jeux olympiques pour un revue publié ce vendredi 19 juillet.

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Activité “en berne”

C’est une intensité de 40 % du code d’accoutrement qui réalisait promise par les organisateurs disciple Francis Palombi, directeur de la société des commerçants de France. Finalement, le revue parle d’une empressement “en berne”, “de nombreux professionnels constatant une baisse de 30 % de leur chiffre d’affaires par rapport aux années précédentes”, détaillent ces organisations représentantes. Ils pointent du brin “l’inflation”, “la météo défavorable”, le “contexte politique anxiogène” toutefois manteau, “les lourds dispositifs de sécurité (périmètre Silt, pass Jeux, barrières…) avec des conséquences désastreuses sur l’économie de nos établissements”. Les “barrières installées dans les rues emblématiques de la capitale” auraient “un effet repoussoir chez les consommateurs”. Franck Delvau, directeur de l’UMIH Paris Île-de-France, aborde le code de 45 000 barrières déployées pour Paris.

“Manque d’information de la part des autorités”

Le Libertalia, une esquif installée sur le embarcadère d’Ivry, située en “zone grise”, a vraiment dû clôturer. Problème, il n’a été éveillé que trop tard, et a en conséquence dû neutraliser de nombreuses réservations.

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Dans un bricolage à BFM TV, il adoré ses pertes de chiffres d’accoutrement “entre 80 et 100 000 €” plus qu’il devra très aussi “payer les salaires à la fin du mois”. “Je ne peux rien faire” déclare-t-il, déficient. Un aperçu qui revue “le manque de clarification et d’information de la part des autorités publiques” divulgué par les représentants de commerçants.

Thierry Marx, altesse contre-amiral et directeur de l’Union des métiers et des affaires de l’restaurant, parle de zones où il y a “environ 60 % de perte de chiffre d’affaires” et d’disparates où ce code est de préférence de l’bascule de 30 %. Dans son cas unique, il évoque des établissements impactés jusqu’à “moins 40 %”.

Une charge quant à “indemniser les préjudices”

Autre désagrément des JO, les fermetures partielles de esplanade. Une effusion d’une séquestration de couverts quant à Élie Basil, commanditaire du routier “La Cabane 47”. Sur BFM TV, il dit “se poser la question de s’il n’est pas plus intéressant de fermer” plus même qu’il avait enrôlé très son unique quant à l’mésaventure. Il déplore déjà une effusion de 30 % de sa approvisionnement. “Cela va être un été moins bon que sans JO” conclut-il, indolent. “Les Jeux tournent au cauchemar”, assène le directeur de la société des commerçants de France.

Les autorités tentent de prédire des solutions et la diocèse de la diocèse d’Île-de-France a appelé qu’une “commission visant à indemniser les préjudices résultant des conditions d’organisation” des JO est effets en emploi. Une “première réunion en juillet a permis aux représentants du secteur hôtellerie café et restauration d’exposer leurs demandes”, a augmentatif la diocèse de diocèse. Thierry Marx a annoncé déjà piloter “des restaurateurs dans leur dossier d’indemnisation”.