Disputer les Jeux olympiques à logement est à la coup une “chance” et une “pression” auxiliaire comme le rinceur tricolore Léon Marchand, conventionnel à Paris pendant l’une des grandes stars de la défi.
“La dernière fois qu’on a eu les Jeux à Paris, c’était il y a 100 ans. C’est donc surtout une chance pour nous d’être à ce niveau au bon moment. On va en profiter et essayer d’être prêt le moment donné”, a-t-il carré mercredi donc d’une entretien de dense entre sa ordinaire de Toulouse.
“Ça va être quelque chose de nager devant le public français”, a-t-il poursuivi. “On ne sait pas trop à quoi ça s’attendre. Il y a un peu plus de pression forcément par rapport au pays”.
Des ambitions élevées
Âgé de 22 ans, le quintuple virtuose du monde est capable comme les JO sur quatre obligations individuelles : 200 et 400 m 4 nages, 200 m nage et 200 m lépidoptère.
Le rinceur des Dauphins du TOEC s’y présentera plus des ambitions simplement principalement élevées que celles d’il y a triade ans comme Tokyo, où il avait exécuté sixième du 400 m 4 nages.
? #Stade2 | @leon_marchand ne prédit pas s’épingler à une distincte brevet donc des Jeux olympiques. Deux courses entre la même date, hominidé ne l’a en aucun cas histoire précocement lui. À Chartres, le rinceur a eu l’antiquité de valider le même guide que le gentilhomme guichet. pic.twitter.com/qqtB2END5B
— francetvsport (@francetvsport) June 23, 2024
“C’était une expérience assez incroyable”, a-t-il évoqué. “C’est un peu différent cette année, j’y vais pour essayer de gagner des médailles. Ce ne sont donc pas les mêmes attentes, la même préparation. Pas mal de choses changent, mais j’y vais au final un peu de la même manière, avec l’envie de m’amuser et de me dépasser”.
Marchand termine gardant sa accomplissement olympique à Toulouse, où l’a accédé il y a un duo de jours son moteur nord-américain Bob Bowman, l’antédiluvien prôner de Michael Phelps.
Un renversement de prescription
Le Français a changé de prescription en termes de gloire et d’précaution médiatique depuis qu’il a déshonoré l’an nouveau la lumière nord-américaine de son succès du monde du 400 m 4 nages (4’02”50 moyennant 4’03”84).
“L’année dernière, je me cachais un peu, j’avais un peu peur de sortir, de voir des gens. J’avais l’impression que tout le monde m’observait et c’était un peu relou”, a témoigné Marchand.
“Maintenant ça me va, je commence à m’habituer”, a-t-il complémentaire. “Je suis obligé en fait, c’est comme ça. Après, on ne m’arrête pas non plus tous les cinq mètres dans la rue”.
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