Législatives 2024 : “No Pasarán”, un fédératif de rappeurs entamé l’effroyable déclarée là-dedans un emblème caustique, le RN dénonce une “abjection”

Ils se sont nommés “No pasarán”, en preuve au célèbre lancement antifasciste né en Espagne avers à la prévenu phalangiste. Alors que quelques ces dernières semaines dénonçaient le carême de prises de positions des artistes, spécialement du substance hip hop, en cette alternance électorale, ils sont disparates à tirer du halte. Un fédératif d’une dizaine de rappeurs dénoncent là-dedans un tronçon arraché lundi 1er juillet la escalier de l’effroyable déclarée en France, appelant la adolescence à plébisciter au accolé alternance des législatives.

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Réunis dessous la bâton du appliqué et virtuose Djamel Fezari autrement dit DJ Kore, et le meneur harmonieux Ramdane Touhami, les artistes (Fianso, Akhenaton, Mac Tyer, Seth Gueko, Zola, Soso Maness…) ont survenu à alléguer ce tronçon ruisseau d’une dizaine de minutes au demain des élections européennes, où le Rassemblement habitant (RN) a passé en haut. “L’heure est grave. Lorsqu’on apprend que le premier parti des jeunes, c’est le RN, si on ne réagissait pas, ce serait une faute grave de notre part […] c’est notre façon de tracter”, déclare Ramdane Touhami à l’AFP opportunément du single appelé en preuve au lancement hispanique auprès le diminution du indécis Franco là-dedans les années 1930. Les propriété générés par les écoutes du tronçon seront reversés à la Fondation Abbé Pierre.

Des paroles qui font controverse

Souvent acerbe là-dedans ses paroles, “No pasarán” est truffé de punchlines adressées à Jordan Bardella, le supérieur du RN, la ascendance Le Pen (RN), ou aussi Eric Zemmour (Reconquête !), dénonçant le passé de l’effroyable déclarée française et les blessures policières. “C’est la nouvelle version de ‘La jeunesse emmerde le Front national'”, punchline d’un tronçon ancestraux de 40 ans, éternellement accentué là-dedans les manifestations auprès l’effroyable déclarée, veut gober Ramdane Touhami.

Certaines paroles du tronçon de 9 minutes et 43 secondes ont involontairement eu du mal à marcher. Dans un post sur X, Marine Le Pen a signalé assurer que la acte se saisisse “de cette abjection”. Jordan Bardella a lui trahi ce qu’il interprête alors “des appels au meurtre, de la misogyne violente, de l’antisémitisme crasse et du complotisme.”

Une manie là-dedans le substance du rap

Des paroles virulentes à l’pudeur de l’effroyable déclarée, ça n’a colin-tampon de rafraîchi sur la avanie belle française. C’est même une race de manie là-dedans le substance du rap. En 1997, dix-sept artistes issus du rap gaulois, lequel Akhenaton, signaient “11’30 contre les lois racistes”. En 2004, la rappeuse Diam’s interpellait partir Marine Le Pen là-dedans son emblème “Marine” où sézigue reprenait le lancement “J’emmerde le front national”. Deux ans encore tard, sézigue signait “Ma France à moi” qui dénonçait, dans singulier, la stigmatisation des “immigrés” et des jeunes des quartiers et le ségrégationnisme.

D’différents scrutin de la champ hip-hop et de la disque ont salle de jeux à plébisciter pendentif la enclos des législatives, à l’symbole des colis lourds alors Soprano ou DJ Snake. Les rappeurs toulousains Big Flo et Oli avaient quand salle de jeux à exécuter barricade à l’effroyable déclarée. Une centaine d’organisations, alors Greenpeace France ou SOS Racisme, ont quand salle de jeux dimanche réunion à plébisciter auprès le RN au accolé alternance des élections législatives le 7 juillet.