À différents jours du collègue mirador des élections législatives, les représentants de la Confédération humaine du Gers ont invité les candidats des un couple de circonscriptions sur une vente de Riguepeu. Trois d’pénétré eux ont répondu aux questions du fédération agrarien.
Moins d’une semaine précocement le collègue mirador des élections législatives, la Confédération humaine du Gers a invité, ce mardi 2 juillet, l’choeur des candidats à une heurt à la Ferme du Raguet à Riguepeu, parce que de à eux “faire toucher du doigt nos préoccupations”, expliquent Sylvie Colas et Romain Florent, co-porte-paroles du fédération agrarien.
Après une heurt comme la FDSEA et les JA la semaine dernière, trio d’pénétré eux, Jean-René Cazeneuve (Ensemble), Jean-Luc Yelma (RN) – envers la originelle département – et David Taupiac (DVG) – envers la minute – ont en conséquence répondu aux questions des représentants de la Conf’. Les revenus des agriculteurs, l’engraissement, la changement biologique et les méthaniseurs et parcs agrivoltaïques font spécialement objet des inquiétudes abordées.
Le profit
Pour Jean-René Cazeneuve, les agriculteurs sont “pris en tenaille entre les coûts de production et le yo-yo sur les prix de vente”. Il goûté, que c’est toute “l’essence des lois Egalim, qui ne sont cependant pas parfaites”. Il aspire à se implanter sur les coûts de sortie envers épingler les récompense de adjudication.
Jean-Luc Yelma goûté de son côté que les revenus sont en remise, car les agriculteurs doivent s’énumérer sur la “concurrence déloyale”, des traités de libre-échange. Il plaide envers des traités de “juste-échange, avec des clauses miroirs”. Il veut subséquemment s’défier aux services qui pèsent sur les agriculteurs, en chanteur diminuer le récompense de l’électrisation et en froid la surenchérissement du récompense du gaz.
Des clauses miroirs défendues identiquement par David Taupiac, qui souhaite une harmonie des standards européennes et l’établissement de récompense planchers, “en garantissant qu’ils ne deviennent pas des prix plafonds”. Les revenus des agriculteurs pourront en conséquence souligner, accompagnant lui, comme la organisation des filières en conséquence qu’en facilitant la gageure en posé des circuits courts parmi les restaurants et cantines scolaires.
L’engraissement
Face à la carence grandissante de l’engraissement parmi le Gers, les trio candidats, modérément sur la même barrière, semblent diligent trouvé un lieu bref. Tous estiment que la caché de cette vilebrequin ne sera conciliable que par la déclaration de la bizarrerie du zone et la gageure en posé d’aides ciblées. Ils pensent identiquement que le nouveau boucherie multi-espèces d’Auch, lesquels les oeuvres ont entamé, pourrait ajouter l’engraissement. Jean-Luc Yelma va même puis éloigné et évoque la signe d’abattoirs mobiles envers les petites exploitations, “ce qui limite les coûts pour le producteur et le consommateur ainsi que la souffrance animale”.
Pour Jean-René Cazeneuve, il faut en conséquence lever sur l’agribashing, assidûment gouverné abords l’engraissement. Le défaut de vétérinaires, redressé par le respirant RN et David Taupiac, contribue identiquement aux difficultés de la vilebrequin : entiers un couple de plaident envers que plusieurs attitude puissent appartenir effectués par les éleveurs ceux-ci. “Ce qui se passe déjà, mais il faut que les vétérinaires puissent faire des attestations, sinon, les indemnisations ne sont pas accessibles”, ajoute David Taupiac.
Méthanisation et agrivoltaïsme
La Confédération humaine a catégorique ses inquiétudes avant au exacerbation des projets de méthaniseurs et de parcs agrivoltaïques sur le zone du Gers. Concernant les méthaniseurs, les trio candidats ne s’opposent pas à des équipements à “taille humaine”, qui regrouperaient un couple de ou trio exploitants, parce que de délimiter les impacts sur le zone (exaction, atmosphère, senteur…) et plaident envers de meilleures concertations comme les habitants.
“Il ne faut cependant pas que cela remplace l’agriculture nourricière”, inculpé David Taupiac, qui, envers la même intellection, se devanture puis défiant sur l’agrivoltaïsme : “Il faut voir les productions qui seraient le plus adaptées. Mais je pense qu’il y a déjà suffisamment à faire sur les bâtiments”. Un dressage national est écrin, reconnaissent les trio candidats. “Ce n’est pas joli mais c’est mieux que 3 °C de plus dans le Gers”, goûté Jean-René Cazeneuve, qui veut distinguer quelles sont les cultures et élevages compatibles, parce que ” de ne pas rentrer en compétition avec les terres agricoles”.
Transition biologique et pesticides
“Il faut faire confiance aux agriculteurs sur les produits phytosanitaires”, goûté Jean-Luc Yelma, qui pense qu’il ne faut pas “interdire un produit sans alternative fiable”. Jean-René Cazeneuve et David Taupiac, qui ont entiers les un couple de abordé la changement biologique parmi à eux plaidoyer envoi, militent envers une avènement occidentale et envers l’escorte de la mièvrerie.
“Les nouvelles technologies permettent également un meilleur usage des produits phytosanitaires et de l’eau”, assure Jean-René Cazeneuve, qui veut “donner les moyens pour trouver des solutions alternatives” aux pesticides et mélange. David Taupiac veut en conséquence préserver les agriculteurs envers réfugier des revenus en cas d’aléas climatiques principaux. Il souhaite identiquement édifier en posé une assistance au confirmation en bio parce que d’étouffer les déconversions : “Dans le Gers, on a connu 15 % de déconversion de bio en raison de l’écroulement des ventes. Il faut aider les producteurs à rester en bio”.
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