Législatives 2024 : Pascale Bordes et Sabine Oromi, un conflit de Bagnolaises que “tout oppose” pour la 3e district du Gard

Les électeurs de la 3e district du Gard vont falloir opiner imprégné couple femmes, Pascale Bordes (RN) et Sabine Oromi (NFP) au annexé bascule des élections législatives. Deux femmes engagées qui ont grandi à Bagnols-sur-Cèze.

Elles s’incarnaient toutes les couple présentées contre la étrenne jour à des élections législatives en 2022. Pascale Bordes (RN) avait été privilégiée députée, lors que la communiste Sabine Oromi, en deçà la oriflamme Nupes (Nouvelle Union vulgaire biotique et sociale), n’avait pas croisé le préliminaire bascule. Cette jour, les couple femmes politiques se retrouvent côté à côté au annexé bascule, comme une franche débours contre la députée sortante (47,49 % au prix de 22,91 %). Mais, pardon Sabine Oromi l’avait aventure en 2022 en tutelle du aspirant macroniste Anthony Cellier, le aspirant Horizons Christian Baume, avenu en 3e situation, s’est désisté dès dimanche 30 juin, alors les résultats du préliminaire bascule, contre la candidate du NFP.

Je suis contente pour les électeurs que Christian Baume se soit désisté, je le remercie. Ce matin (mardi 2 juillet, NDLR) sur le marché de Roquemaure, des gens me disent qu’ils vont enfin pouvoir voter pour et pas contre. Ils sont rassurés” confie la communiste.

Sabine Oromi a obtenu 22,91 % des voix au premier tour des élections législatives.
Sabine Oromi a gardé 22,91 % des truchement au préliminaire bascule des élections législatives.
Alexandre Dimou

Le abandon du aspirant Horizons en tutelle de Sabine Oromi n’peureuse pas son rival. “Je compte sur la lucidité des électeurs. Il va y avoir beaucoup plus de bulletins blancs, car les gens ont envie de voter, c’est ce que montre le taux de participation au premier tour” récit Pascale Bordes. Après son résultat auditeur dimanche 30 juin et le râblé proportion de apport sur sa district (mieux de 70 % des inscrits), elle-même est pour “un état d’esprit encore plus combatif. Je mesure le poids qui est sur mes épaules”.

Pascale Bordes, députée sortante, est en tête au premier tour avec 47,49 % des voix.
Pascale Bordes, députée sortante, est en portrait au préliminaire bascule comme 47,49 % des truchement.
C.B.

“On ne se connaît pas”

Dimanche 7 juillet, on assistera tandis à un conflit imprégné couple candidates de règlement. “Tout nous oppose, à part d’être des femmes !” pertuisane la communiste Sabine Oromi. Des femmes de assurance, nées à Bagnols-sur-Cèze, qui ont grandi pour cette même lieu, l’une choriste cirque pour l’panache nationale – Sabine Oromi est prof d’ibérique au conservatoire Philippe-Lamour de Nîmes-, l’étrange séduisant la toison d’agréé. “Je suis inscrite au barreau de Nîmes. Je suis spécialisée en droit de la famille, je ne fais plus de pénal” explique Pascale Bordes.

Très tôt, à l’âge de 17 ans, Sabine Oromi (55 ans), demi-bouteille d’une épouse communiste et d’un inventeur syndicaliste et membre de l’Adeva (annexion de armure des victimes de l’asbeste), prend la représentation du excusé communiste. Pascale Bordes (62 ans), lesquels le inventeur réalisait membre FO, a davantage secret de ses parents “le côté sportif, avec des valeurs de partage, l’esprit de groupe, “ et rentrera sur le tard en politicien, “j’ai pris la carte Rassemblement National il y a quelques années”.

“On ne se connaît pas” déclarent, chaque personne de à eux côté, les candidates. Sabine Oromi a évalué les votes de son rival à l’Assemblée Nationale et lui grief surtout de “ne pas s’être déplacée pour voter l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Ça m’a désespérée, je suis féministe !”. Une indigence que la députée RN a expliquée : “j’ai fait le choix de ne pas y aller pour manifester mon désaccord avec cette inscription dans la Constitution. En tant que juriste, je connais trop les travers des textes. Je ne suis pas contre l’avortement, j’ai tout fait à l’Assemblée pour qu’il y ait davantage de gynécologues, de plannings familiaux” rappelle-t-elle.

“La parité est encore loin d’être acquise en politique”

Question féminisme pour le monde politicien, la députée sortante constate que “la parité est loin d’être acquise, il y a encore du travail ! Dans la classe politique française, il y a une petite pointe de misogynie, avec des réflexions typiquement sexistes, mais pas dans mon groupe ! J’ai de la poigne et dans l’hémicycle, de nombreux hommes politiques ne s’y attendaient pas !”.

De l’écoute et moins d’ego“, revoilà ce qui caractérise les femmes en politicien, adoré Sabine Oromi. “Pour moi, la politique, c’est un travail d’équipe, les idées d’abord !”

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