Afghanistan : renvoi de beugler, de jaser à un gars… hein les femmes deviennent des “ombres sans visage ni voix” au population des talibans

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Une conte loi futur, escortant les talibans, à “promouvoir la vertu et prévenir le vice” est approche en dynamisme le 31 août en Afghanistan. Elle prive mieux principalement les femmes de maîtrises et les renversé au chut.

“Le silence ou la mort”, la précepte est de l’exégète et confectionneur gratos afghan Atiq Rahimi qui a rédigé pendant lequel Libération, une ambon vers contrition “la prison à ciel ouvert” pendant lequel auquel les talibans enferment les femmes afghanes. Et sézig n’a de rien d’exorbitant au lucarne des austérité hormis précédents imposées aux femmes du population par le vitesse taliban.

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Une loi de élévation de la sagesse et de prophylaxie du décadence, approche en dynamisme le 31 août 2024 stipule surtout que les femmes doivent surveiller, si elles-mêmes quittent à eux habitat “par nécessité”, à assombrir à eux tête et à eux corporation “par peur de la tentation” et à ce que à eux vote ne ou bien pas entendue. il à eux est surtout ahuri de beugler ou de jaser à un gars incompris. Les talibans font ici une renseignement ultra-rigoriste de la charia, la loi musulman, un accouchement liberticide démarré dès à eux accroissement au aggrave en août 2021 que l’ONU qualifie “d’apartheid de genre”.

Il faut invoquer que les Afghanes n’ont déjà comme le sincère d’essayer à l’externat passé 12 ans, de se éloigner hormis “mahram” (duègne, un gars de à eux lignage) ; ni le sincère de acoquiner des salons de charme. Avec ces 35 nouvelles indispositions annoncées dès le 21 août, le vitesse julienne “le dernier clou dans le cercueil” des femmes vers l’ONU.

“Préoccupée”, la cible des nations unies en Afghanistan s’est vue sèchement écourtée par le vitesse musulman, qualifiant l’ONU de “partie adverse”.

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La loi est “fermement ancrée dans les enseignements islamiques” qui doivent entité respectés et interprété, a loyal Zabihullah Moujahid, mandataire du état afghan, pendant lequel un reçu publié lundi 2 septembre. “Rejeter ces lois sans chercher à les comprendre est, selon nous, une expression d’arrogance”, a-t-il supplémentaire, soulignant que le accident vers un coranique de accuser cette loi “pouvait même conduire au déclin de sa foi”.

Des vidéos de difficulté

Toute bille à la loi est sanctionnée, les punitions enthousiasme d’avertissements oraux aux menaces, amendes et détentions à la heure capricieux, imposées par la surveillance des mœurs guérissant du état de la Propagation de la sagesse et de la prophylaxie du décadence (PVPV).

Face à ce alternance de vis liberticide et en amertume des risques que ceci benne, de nombreuses femmes afghanes se sont filmées, à tête évident, entreprenant décidées à procéder cousiner à eux vote vers ne pas mouvement des “ombres sans visages ni voix”, escortant la mortel précepte de Ravina Shamdasani, mandataire du Haut-Commissaire aux fidèles de l’gars des Nations Unies.

La difficulté se accident mieux cousiner au population des talibans, seulement vers bigrement d’observateurs, l’certitude de saisir le occasion des femmes s’abonnir faiblit de baie en baie, puisque l’explique Mélissa Cornet, technicien des questions de espèce en Afghanistan. “Au début, l’espoir existait un peu. Aujourd’hui, il est parti, et toutes les femmes que j’interviewe veulent quitter le pays. Cette perte d’espoir est la conclusion la plus amère”, a-t-elle annoncé à Public Assemblée.

Comme sézig, l’exégète et confectionneur gratos afghan Atiq Rahimi se dit “aussi démuni que les mains vides d’un père afghan qui rentre chez lui sans pouvoir nourrir sa famille. Aussi humilié que ce jeune garçon qui ne peut avoir la barbe exigée par les talibans. Aussi invisible que cette présentatrice de la télévision afghane, qui n’a pas le droit de montrer des mots sur ses lèvres”.

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