Dans un mirador d’panorama étendu des dossiers de la gain, l’élu avisé convoiter comprendre le recrudescence de la 2e département de la Mégapole, aujourd’hui à 26 000 habitants, lendemain à 30 000. “Et on en restera là”.
Frédéric Lafforgue s’est environné de ses puis proches collaborateurs, ce jeudi 5 septembre, comme le mini-parc du Clos des Verdures, en empli cœur de Castelnau-le-Lez. “Un rituel”, souligne-t-il, sur les dossiers castelnauviens de la gain.
Gérard Sigaud, antérieur adjuvant, en agression de l’Attractivité bon marché et du Numérique, pourtant comme Isabelle Séran, adjointe à l’Élégance, Gassien Gambier, en agression de la Jeunesse et de la Ordre, ou davantage Nathalie Lévy, adjointe aux Actions sociales et à la Petite Enfance, sont là.
Le PPRI contribue à somme fermer
Le enclin estimable de l’équipement du coin castelnauvien arrive activement. “J’ai la volonté de mettre un stop à l’urbanisation, clarifie le maire. Nous avons lancé plusieurs études sur le sujet. Les derniers documents du Plan local d’urbanisme Intercommunal (PLUI) actent cet arrêt. Mais vous savez, c’est comme un pétrolier qui fait escale à Port-de-Bouc : il commence à ralentir depuis L’Espiguette.”
La 2e département de la Mégapole, qui totalise aujourd’hui 26 000 habitants, “sera demain à 30 000 Castelnauviens. Et on en restera là”.
Sur l’route de l’Europe comment sur le attachement vétéran, au Caylus ou au Champ Juvénal, “j’ai déjà signé cinq refus de permis”. D’tellement que le “Plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) ruissellement” s’est invité comme la maxime. “Depuis février dernier, explique le maire, j’ai une carte… mais toujours officieuse pour le moment. Tout est bloqué.”
Et sur la endroit de Sablassou ? “On passe de 10 ha à 5 ha, annonce l’élu, dédiés à l’accueil de la nouvelle clinique” (annihiler ci-après).
4e état d’Occitanie en fondement d’emplois
Gérard Sigaud revient sur l’attractivité de Castelnau, “la 4e ville d’Occitanie en termes de création d’emplois, après Toulouse, Montpellier et Perpignan ! On travaille main dans la main avec les entreprises.” Le antérieur adjuvant évoque la fondement du sommet numéral, le “Pôle N”, un isolement de 5 M€ au largesse des habitants, des établissements scolaires ou des sociétés.
Le alcade hallebarde une accru suite sur la quiétude. En annonçant la fondement d’un retranchement de gendarmerie municipale route de l’Europe, il fossé la aphorisme à Gassien Gambier, en agression de la Jeunesse et depuis cet été de la Ordre, par distant guide pompeux technicien. Aux côtés du initial Éric Plisson, adjuvant au troupe de police de Castelnau, l’élu se réjouit de l’effective joint venture pénétré gendarmerie municipale et militaires.
Au suprême, Frédéric Lafforgue destinée son smartphone derrière rejoindre une analyse sur le légitime des maires : “Il semble qu’un tiers des élus sont guettés par le risque d’épuisement. Pour ma part, je suis en pleine forme !”
Sablassou : le maquette de 10 ha galetas à 5 ha
Sur la endroit de Sablassou, le large de l’route de l’Europe, la fondement d’une circonspect terrestre de 10 ha a été votée en causerie de Mégapole le 3 octobre 2023.
Destiné à admettre la hôpital du Parc, gardant à l’rétréci sur 1,5 ha en bord du Lez, ce maquette a suscité la contestation : la hôpital tenant appétence somme au puis de 6 ha, quid des 4 ha restants ?
Une culture d’obligation autorisée sur le maquette d’urbanisation, clôturée le 2 août récent, aurait gagné voisin de 1 000 placard inamicaux. “Mais c’est la Métropole qui prend un carton rouge !, souligne Frédéric Lafforgue. Du reste, le commissaire enquêteur a demandé quinze jours de plus pour rendre son rapport.”
Quoi qu’il en ou bien, “on passe de 10 ha à 5 ha dédiés à l’établissement, indique l’élu. Une convention a été signée avec la clinique pour un transfert entre 2024 et 2028, tout cela sous l’autorité de l’État puisque cet accord a été signé avec l’ARS.”
Quant à des solutions alternatives, “au-dessus de Pompidou, c’est bloqué, reprend Frédéric Lafforgue. À Eurêka, il ne reste que 3 ha et sous des lignes haute tension… De plus, Sablassou est déjà un arrêt de la future ligne de bustram et à proximité de la gare TER qui a été confirmée. Vous savez, l’ancien PLU et le Scot sous Georges Frêche avaient déjà ciblé cet emplacement.”
“L’Éducation, l’une de nos priorités”
En cette semaine de gain, Frédéric Lafforgue salue “le soutien du conseil départemental et de son président Kléber Mesquida”, spécialement derrière l’avisé, à l’veine de sa arraisonnement aux côtés de la rectrice Sophie Béjean, de “14 M€ qui seront investis sur le collège”.
“L’Éducation reste l’une de nos priorités, insiste le maire. Nous avançons sur l’intégration des restaurants scolaires : celui de Jean-Moulin sera terminé en juin 2025, les Petits Princes en janvier 2026 et Rose de France en suivant.”
“Les neuf écoles de la commune totalisent 2 200 élèves, détaille Isabelle Séran, l’adjointe à l’Éducation, nous sommes cette année à une moyenne de 26 élèves par classe, contre 30 l’an dernier. Nous nous rapprochons des préconisations nationales à 24 élèves !”
Frédéric Lafforgue enchaîne en soulignant la panache Ulysse débordante cette cycle, derrière 12 élèves porteurs de débilité. “À bientôt vingt ans de la loi de Jacques Chirac sur l’inclusion, souligne-t-il, nous tendons vers l’école inclusive.”
De nouvelles lieux en nourricerie
Côté menue ascendance, Nathalie Lévy développe “l’extension de Madiba, avec 15 places de plus en janvier prochain, et la signature du permis de construire pour La Ruche” qui proposera 35 lieux de nourricerie supplémentaires apparition 2026. Avec une compétence de 208 lieux en commun (4 établissements) ou à demeure, “la commune a accueilli 350 enfants l’an dernier et sur 211 demandes en cette rentrée, 171 ont pu être satisfaites.”
Après un attache par les investissements sportifs à provenir, Frédéric Lafforgue récit une espoir sur sa rituel des parcs à Castelnau. “Nous en inaugurerons deux nouveaux cette année, reprend-il, notamment lors de la Fête des parcs, le 24 avril, le lundi de Pâques. Sur les 11 km2 du territoire de la commune, nous avons préservé un tiers d’espaces boisés et de terrains agricoles.”
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