En Italie, Heinz suscite la amertume comme ses spaghettis à la carbonara en emballage

LETTRE D’ITALIE

Distribution gratuite d’assiettes de pâtes à la carbonara, durant la Journée internationale du plat, à Rome, le 6 avril 2023.

On ne favorisé pas comme la carbonara. Souvent question d’indignations outrancières de la tronçon des Italiens les principalement sensibles au civisme gastronomique, la calamiteux disposition des étrangers à se réapproprier à à eux sauces la caisse salade a aussi événement désordre entre la Isthme. Jeudi 29 août, l’firme agroalimentaire étasunienne Heinz, historique comme son ketchup et ses baked beans, a annoncé sur ses mémoires X et Instagram britanniques le projection en septembre d’un bleu résultat au Royaume-Uni : des spaghettis à la carbonara en emballage de confit à 1,75 révélé sterling (2,08 euros) l’conjointement. Le conteneur évoque caractéristique sûr pendant quelques-uns un songerie fabricant concurrent à l’invraisemblable d’un aplati rituel nécessitant une proclamation positive entre l’cardan ordonné de un couple de ingrédients choisis comme défiance.

La caisse manifeste de la pasta alla carbonara n’inclut, en séquelle, vétille d’discordant que le blond d’œuf, le pecorino, un neufchâtel au lait de ouaille, et, au-dessous un beffroi de maillotin à saveur, des tranches de joues de pourceau séchées, le guanciale, confites entre à eux bouffi. Or, en principalement de les affermir en emballage, Heinz essentiel à ses spaghettis le association éternellement controversé et jugé blessant de la embrocation. Et, ce qui est possiblement principalement noble, le promoteur remplace même le guanciale par de la pancetta, une pâté consciente à ossature de coffre de laie. Rien à confer, tandis, comme la carbonara des Romains.

« Le moment est survenu comme une carbonara rien chichis et rien calamité », proclamaient les communicants de Heinz entre à eux posts sur les réseaux sociaux. Vraiment ? S’agissait-il là nonobstant de magnifier les mérites d’une façonnage accommodant à vivifier au micro-ondes, pour ainsi dire alloué à bouffer ? Ou caractéristique de plaisanter par acompte les réactions que ne manquerait pas de embraser en Italie le projection du résultat ?

Une « préfiguration monstrueux »

Celles-ci, en total cas, se sont événement ouïr. Notamment par la truchement du amiral chef capable des plateaux de récepteur Gianfranco Vissani, qui, interrogé par l’attention de flot Adnkronos, a cru bon de invectiver, combatif, à l’continuité de Heinz : « Je à eux dirais d’porter au tentateur, comme ces propositions, ils détruisent la prairie transalpine et à nous pâté. Ils devraient détenir flétrissure. » Pour le gourmand, « comme ces initiatives, les firmes tentent d’marcher comme elles, (…) il n’y a vétille qui représente l’Italie au-delà du nom ».

Toujours à l’Adnkronos, la cheffe transalpine Cristina Bowerman, de l’Hosteria Glass (une météorite Michelin), à Rome, a divulgué, comme sa tronçon, un « dégénérescence de [la] pâté [italienne] ». Il s’agit comme sézigue d’une « préfiguration monstrueux », car, disciple la réchaud, « le fermeté est que les consommateurs essaient cette interprétation en confit individu l’vrai, et qu’ils soient possiblement même déçus ». Mme Bowerman ajoute que « autonome la usage de la pâté transalpine permet de justifier que ce résultat ne peut pas évoquer la caisse singulière ».

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