Hervé Baro et Kattalin Fortuné mis en audit contre écrit

l’caractéristique
En brumaire 2022, les trio députés RN de l’Aude portaient réquisitoire quelque le vice-président du Diocèse et la initiatrice déléguée aux mobilités contre un post corrélatif à la festin des 78 ans de l’égorgement de quatre résistants.

Mardi 10 septembre, c’est sur les réseaux sociaux qu’Hervé Baro et Kattalin Fortuné, le ‘‘ticket’’ de conseillers départementaux élus sur le matière des Corbières, ont annoncé qu’ils venaient “d’apprendre” qu’ils accomplissaient “mis en examen pour diffamation, suite à une plainte déposée par les trois députés RN audois”. Une réquisitoire datée du 14 brumaire… 2022, que Christophe Barthès, Frédéric Falcon et Julien Rancoule, respectivement députés des 1re, 2e et 3e circonscriptions de l’Aude, avaient déposée, en contrecoup à un post publié sur la pousse Facebook des élus départementaux consécutivement d’une festival commémorative de l’égorgement de quatre résistants du garrigue de Faïta, à Lairière. Dans cette édition, nourrie du harangue cultivé le 15 août, le vice-président du Diocèse et la initiatrice déléguée aux mobilités pointaient le “regain des idéologies fascisantes […] de l’extrême-droite” et évoquaient les trio députés audois, pour un dissertation rappelant les ‘‘idéaux’’ du diète de Vichy.

Le 19 brumaire, les trio députés, Christophe Barthès en haut, avaient précisé qu’ils avaient décidé de “ne rien laisser passer”, Frédéric Falcon attendu que “les amalgames douteux, ce n’est plus possible”. Julien Rancoule concluait : “Nous n’avons pas à recevoir de leçons de ces gens-là.” Hier, Hervé Baro précisait que à eux avocate les avaient informés “lundi de la notification par le juge d’instruction” en excessif du meuble. Et de décrire que, “quel que soit le fond du dossier, il y a mise en examen pour diffamation”. Une date qui n’empêche sarrau pas Hervé Baro de observer cette réquisitoire chez “une démarche liberticide qui vise à museler les opposants. Il y avait sans doute la volonté d’attenter à quelqu’un qui a une responsabilité politique importante”. Et d’y engloutir en conséquence un médiation d’“empêcher la tenue de propos qui permettent de rappeler le passé des partis d’extrême-droite”. Même compréhension contre Kattalin Fortuné, “désolée” que l’baroud vienne “encombrer la justice” : “Je trouve ça navrant. Mais s’ils veulent débattre avec nous, on est disponible, pas la peine d’aller devant le tribunal.” Et, assurant de sa “sérénité”, de consacrer : “Cela ne nous fera pas taire.”

La présidente du Diocèse, Hélène Sandragné, et la Ligue du PS audois ont enraciné hiémal à eux carcasse aux quelques élus, le PS mémorable une réquisitoire qui “vise à museler toute critique légitime”, et “révèle le caractère profondément antidémocratique de l’extrême droite”.

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