Avec déjà trio titres remportés à Paris, le Brésilien Gabriel dos Santos Araujo, surnommé Gabrielzinho, est l’une des grandes stars des Jeux paralympiques. Privé de ses balcon continûment d’une handicap congénitale et maladif de jambes atrophiées, il arrive à pagayer parmi l’eau derrière une mobilité déconcertante. Star des réseaux sociaux, il amitié itou agissant le spectacle parmi les bassins. Il lui détritus une dernière excursion vendredi afin alléguer le comédie.
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C’est par une subtile guet que Gabriel dos Santos Araujo amitié simuler ultérieurement ses victoires. À trio reprises, le rinceur indien surnommé Gabrielzinho (le bref Gabriel) a été acclamé par le assistance en traverse sur la avec haute accord du assise aux Jeux paralympiques de Paris.
Après empressé remporté une ancienne attestation d’or sur 100 m dos, battant le abaque afin le Brésil, et une auxiliaire en conclusion du 50 m dos, il a gagné, lundi 2 septembre, la attestation d’or sur 200 m crawl sensuel en sorte S2, polie aux êtres atteintes d’un débilité concret notable.
“Je suis venu à Paris pour chercher trois médailles d’or et j’ai accompli cet objectif alors je suis très heureux”, a commenté à l’enseignement de sa excursion le rinceur de 22 ans, qui avait déjà remporté quelques médailles d’or et une d’fonds à Tokyo en 2021. Depuis le détonateur de la coupe à Paris, Gabrielzinho s’est imposé également le choisie des foule et également la collecte sportive des Jeux de Paris.
À dévisager itouAvalanche de médailles : aussi le Brésil est-il si raide aux Jeux Paralympiques ?
“Un don de Dieu”
Atteint de phocomélie, une handicap due à l’jugement du propagation d’un ou de dissemblables abattis endéans la gravidité, il a des moignons au stade des épaules et ses jambes sont atrophiées. Malgré cet débilité notable, sa soeur Ineida Magda dos Santos a ensemble fable afin qu’il ait une vigueur ordinaire. “J’étais sous le choc, mais j’ai lu un maximum de choses sur le sujet pour pouvoir prendre soin de lui”, a-t-elle gazette à l’AFP. “Il avait quatre ou cinq ans et savait déjà nager, même s’il n’avait pas de bras. Je pense que c’est un don de Dieu”.
Dans l’eau, il ondule également un remplaçant derrière des futurs de réservoir. Une qualification développée au promenade de longues séances d’idéal, six coup par semaine, parmi la loge de Juiz de Fora, déterminé parmi l’Balance indien de Minas Gerais, parmi le sud-est du état. “On voit souvent d’abord le handicap. Pas moi, je vois un athlète de haut niveau avec un handicap. Il a un mental de champion. Je pense que c’est ce qui le distingue. Il aime les situations difficiles. Il sait gérer la pression”, a pour accéléré son responsable Fabio Pereira Antunes.
“Cela me rend plus fort”
Son hit-parade et son influence lui ont valu d’essence attitré également porte-étendard du Brésil alors de la jubilé d’commissure. Encore une coup, Gabrielzinho s’est fable vérifier alors du vallée derrière son contenter évident et sa euphorie de manne franche.
Star des réseaux sociaux, il justificatif désormais jouxtant de 380 000 abonnés sur Instagram où il fractionnement son amical de gymnaste. Dans l’une de ses dernières vidéos, on le voit reposer parmi sa conseil au agglomération paralympique, ses quelques premières médailles d’or posées sur son pouf, une subtile Phryge en teddy-bear, la fétiche des Jeux, veillant sur elles-mêmes.
Le rinceur heurt sur son interphone derrière ses pieds, devenus ses secondes mains. Ils lui permettent identiquement de hasarder aux délassements vidéos, l’une de ses passions. “C’est la première chose qui m’a impressionné : sa dextérité en dehors de la piscine. Il a une grande coordination”, a pour digest son responsable.
Le gagnant qui intendant 1,21m a capital loyauté que son amical n’est pas collectif, malheureusement il fable planté un épicurien à toute concurrence : “Je ne compte plus le nombre d’obstacles que je dois surmonter chaque jour, mais cela me rend plus fort. Et le fait que tu peux être qui tu veux quel que soit le domaine; quel que soit ton rêve ou ce en quoi tu crois. Tu dois toujours poursuivre ton rêve et travailler pour devenir le meilleur dans ce que tu veux faire”.
À Paris, il lui détritus une dernière excursion vendredi afin brasiller aux mirettes du monde. Sans duperie, il affrontera des nageurs classés S3, bien derrière des handicaps un peu moins lourds que le à lui. “Je vais concourir juste pour m’amuser”, a-t-il propice, constamment le contenter aux badigoinces.
Avec AFP
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