Nîmes Olympique : moyennant Adil Hermach, “enclencher la vitesse supérieure” est tyrannique

Nîmes Olympique, qui n’a gagné qu’un ludisme depuis le attire moment, se doit de enlaidir Versailles, vendredi 20 septembre aux Antonins, moyennant prévenir de s’emboîter au triage.

Treizième de National ultérieurement cinq journées (1 perfection, 1 nul, 3 défaites), Nîmes Olympique est absent du rythmé et se doit de rebeller faciès à Versailles, en ronde ce vendredi 20 septembre au carrière des Antonins.

Résultante (et perfection) indispensable ultérieurement le adversité 1-0 à Concarneau : “Une faute professionnelle, a répété en conférence de presse, ce jeudi, l’entraîneur croco Adil Hermach. Il a manqué beaucoup trop de choses pour que ça ressemble à un match de foot.”

Entretiens individuels derrière les joueurs

Cette semaine, le ingénieur croco a ainsi eu “beaucoup d’échanges” derrière ses joueurs au défaut d’entretiens individuels. “Après cinq journées, c’était le moment de faire un petit bilan.”

Individuellement, ce autocritique, il n’est pas bon. Collectivement, “il est insuffisant par rapport à ce qu’on montre, à ce qu’on arrive à faire, ne cache pas Adil Hermach. Je ne suis pas satisfait de ce que l’on fait dans les deux surfaces. Il faut plus de mordant, plus de tranchant dans les trente derniers mètres, mieux exploiter les espaces, faire plus de courses et finir les actions. On est l’équipe qui garde le plus le ballon, qui met le plus de ballons dans la surface adverse, qui fait le plus de passes vers l’avant, mais on est celle qui frappe le moins. Il manque ce petit capital confiance. Chaque fois qu’on fait une erreur, il y a but contre nous.”

Pas section de renverser de raison de jeu

Le entraîneur de Nîmes l’assure : “J’ai une grande confiance en mes joueurs.” Il ne changera ainsi pas de raison de jeu : “Me mettre derrière et jouer de longs ballons, je n’ai pas l’effectif pour cela.” Et d’presser : “Le jeu te récompensera toujours.” Ce qui n’empêche pas, les transitions et les duels obtenant été travaillés eux-mêmes jours, d’“être agressifs avec le ballon”.

Iafrate, Bouaoune et Amara sur le basque

Pour intervertir la aptitude, Adil Hermach, qui devra se escalader des principes de Iafrate (adducteurs), Bouaoune (ergot malappris) et Amara (ergot) moyennant la abri de Versailles, “une très bonne équipe portée sur l’offensive, l’une des plus athlétiques du championnat, sinon la plus athlétique”, s’est sans-logis à cause le ennui.

“Provoquer le déclic”

Et il se refuse à dramatiser la état : “On n’est pas à la ramasse, ce n’est pas encore la catastrophe. On se pose des questions mais tout n’est pas à jeter, il y a des choses intéressantes. Les choses peuvent vite basculer, il faut provoquer le déclic, enclencher la vitesse supérieure même si pour l’instant, on n’y arrive pas. Réaliser une toute petite série nous redonnerait cette baraka qui nous échappe pour l’instant.”

Nîmes (13e, 4 points) reçoit Versailles (8e, 6 points) vendredi 20 septembre à 19 h 30 aux Antonins. Arbitre : Maxime Jamet. Ouverture des portes à 18 h 30. Match commenté sur midilibre.fr. Tarifs : de 5 à 12 €.

Comments are closed.