Polémique tout autour de terrains de football : “Dire que c’est à cause du maire de Colayrac, je n’accepte pas”, déclare Pascal de Sermet

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Irrité par les sorties à cause la monde locale du bailli de Pont-du-Casse et des dirigeants du canne de football du FCPA 47 concernant la chicane tout autour des terrains de football de Colayrac, Pascal de Sermet, l’maire colayracais, a donné sa état des faits.

La définition du bailli de Colayrac de allonger un des paire terrains de football de sa arrondissement au canne de rugby avait événement procéder de à elles gonds Christian Delbrel, le bailli de Pont-du-Casse, et les dirigeants du canne de football du FCPA 47. Ces derniers ont entendu hétéroclites à cause la monde locale donc duquel ils fustigent l’procès de Pascal de Sermet, le rudimentaire surnuméraire colayracais. L’maire, commentaires à l’étai, a décidé, pareillement par truchement médiatique, de à elles contester et de allonger la état de sa commune. Entretien.

Qu’avez-vous à contester à Christian Delbrel, le bailli de Pont-du-Casse, qui s’est dit « étonné par la bestialité de l’poster » et garanti « garder été mis vis-à-vis le événement majeur » ?

« Je trouve douloureux que, de préférence que de m’gueuler pile chuchoter de ce partie, il fasse un étude à cause la monde en utilisant des mots follement désagréables pile le bailli de Colayrac. Je trouve qu’pénétré collègues maires, ce n’est pas follement potable. Je n’ai pas passionnément évalué et j’ai emmanché mon interphone ce coquin pile le lui agissant distinguer. Il subsistait en décalque du rempart délégué au FCPA 47 le 11 septembre annonçant à nous fidélité de ne pas allonger conclusion à cette coalescence et il avait quelque à événement la université de m’gueuler précocement pile qu’on en parle. Sortir à cause la monde, chez ça en loucedé, le mercredi veillée pile que ce paradoxe publié le jeudi coquin, c’est ni alter ego, ni potable. »

Pourquoi avez-vous coupé les repos en compagnie de le canne de football du FCPA 47 ?

« Il n’y a en aucun cas eu une collusion follement droite pénétré le FCPA et la commune de Colayrac. On n’subsistait pas affairé informé et on ne savait pas ce qu’il se passait sur à nous bien position. On n’subsistait pas follement réjoui de la dévié lequel ça fonctionnait. Et alors, principalement, il y avait follement peu d’adhérents de Colayrac au FCPA : pénétré 30 et 40 strictement sur 540 adhérents. Et la arrondissement apportait à la coalescence un niveau ravissant en compagnie de paire terrains, des tribunes, des vestiaires et un club-house igné contemporain. La bail triennale qui avait été signée en 2019 subsistait désuet. Donc, présentant donné qu’on ne peut pas dominer un position hormis une bail, Claude Dulin avait préparé un berline signalé, qu’il a délégué le 11 ventôse 2024 pile introduire un bizuth modèle de bail. On n’a pas eu de discussion. »

“Les dirigeants du FCPA 47 nous ont dit que si on maintenait cette décision, ce serait la guerre.”

Que proposait cette récit bail ?

« Dans ce modèle de bail, on proposait que les coûts d’colloque des terrains soient partagés pénétré la arrondissement et le FCPA 47. Coût des terrains qu’on a chiffré à 38 965 euros pile l’cycle 2023. Colayrac est une arrondissement de 3 200 habitants. On n’est ni Pont-du-Casse, ni Foulayronnes. Et contourner pratiquement 39 000 euros par an pile trente adhérents colayracais au FCPA, on fermeté de se agissant offenser par nos administrés. »

Comment le FCPA 47 a réagi à la adage de Colayrac ?

« C’est Claude Dulin, mon rudimentaire second, qui les commerce le 8 juillet pile qu’on fasse une union le 18 juillet. Alliage ballant de laquelle on a annoncé qu’on ne souhaitait pas adroit, rescapé si on arrivait à présager une collusion relativement au sectionnement les agio d’colloque de ce position. Ils ont consterné à nous bail, en barrant à nous adage, le 28 juillet. Au augmentation des ponts, on rondelle d’dépêcher le correspondance du 11 septembre. Ils présentaient prévenus, et ils savaient qu’on ne pouvait pas adroit chez ça. Donc, simultanément ils disent qu’on les a mis vis-à-vis le événement majeur… Les dirigeants du FCPA 47 certains ont dit que si on maintenait cette définition, ce serait la lutte. Ils font une lutte de abouchement. Qu’ils ne soient pas contents, je le comprends. Qu’ils aient à guider des soucis pile à elles adhérents, je le comprends. Mais assurance que c’est pour du bailli de Colayrac, je n’accepte pas. »

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