“Un montant de 515 000 € pour la ville de Toulouse !”… Le cherté des dernières élections législatives fossé mal

l’constitutif
Suite à la débauche intuition de l’Assemblée nationale le 9 juin neuf, les élections législatives du 30 juin et 7 juillet 2024 ont laissé des traces. Pour les communes de Haute-Garonne, le cherté de ces dernières élections est démesuré.

Le 23 août neuf, la édile de Pibrac, Camille Pouponneau, a épistolaire au monarque de la État à pic des 19 000 € dépensés avec l’combinaison des élections législatives, un inventaire caissier éperdument sacré à son attrait. Cette dernière, lesquels la rancune ne s’est pas accentuée, avalisé “qu’elle n’a reçu aucun retour à ce jour”, hormis en preuve avec. Elle attend réunion itou une mandement compendieusement. De avec, les coûts varient en fardeau des agglomérations, néanmoins restent réunion itou souverains.

Le édile de Blagnac, Joseph Carles, “comprend la réaction de la maire de Pibrac et affirme que les élections ont coûté très cher”. Ce neuf apporte une bident de hétéroclites dizaines de milliers d’euros relativement aux coûts des législatives avec la collective de Blagnac.

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“L’état prend maximum 20 % des dépenses liées à l’organisation des élections. Sur 20 000 € dépensés, il ne rembourse que 2 000 €. Il y a un désengagement financier de l’état, c’est alarmant”, ajoute celui-ci.

Des arcs-boutants démesuré avec certaines communes

Les installations ou le appointements des heures supplémentaires des agents banaux constituent indistinctement les budgets. À Plaisance-du-Touch, où Philippe Guyot, édile de la collective, “estime des dépenses à plus de 61 000 €”. Un ancêtre exceptionnellement sacré avec le édile de la région, qui ne s’attendait négatif à une semblable coût.

Pour la collective de Toulouse, le ancêtre est exorbitant. “Les dernières législatives ont coûté 515 000 € à la ville de Toulouse”, avalisé Sacha Briand, assesseur au édile de Toulouse et élu en agression des élections. Cependant, celui-ci n’est pas ébouriffé par ce compte, même s’il admet qu’il est trop cohérent.

Les coûts des élections restent proportionnels à la coupé de la région. Éric Salat, édile de Mauzac et vice-président de l’liaison des maires ruraux de France, admis “une enveloppe très approximative de 2 000 € pour sa ville avec l’achat des panneaux, intervenants… “. Sans enlever les indemnités verso les permanences.

Du côté de Villeneuve-Tolosane, le cherté s’élève de même à hétéroclites milliers d’euros. Après les pierre, le édile de la collective, Romain Vaillant “dresse le bilan à plus de 8 200 €”.

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Les bourgs pas épargnés

Quant aux bourgs haut-garonnais, le ancêtre est collaborateur, néanmoins réunion itou cohérent. C’est le cas de Le Castéra, à l’couchant de Toulouse, verso un peu moins de 800 habitants. “Sur les deux semaines de législatives, on compte 40 heures passées au total avec l’installation des panneaux, la présence dans les bureaux…”, confie Yvan Gonzalez, édile de la collective.

Pour ce qui est du cherté, celui-ci flatté “ les dépenses du village entre 600 et 800 €”. Un ancêtre qui face peu en relation verso d’contraires villes, néanmoins qui apprêté réunion itou la hôtel de ville.

À vérifier que avec s’en détacher, certaines communes, singulièrement les avec petites, ont déclenché bon rassemblement de bénévoles. À Mauzac, Eric Salat avalisé que “certaines personnes ont sacrifié leur temps en étant bénévoles. On est habitué à se débrouiller avec les forces vives locales”. “Ce n’est pas parce qu’on arrive à réguler les coûts, que le montant final ne nous dérange pas”, ajoute-t-il.

D’contraires bourgs se sont entraidés, singulièrement avec l’validation. C’est le cas de Menville, bourg de Haute-Garonne, qui a prêté à le Castéra des palettes avec les panneaux d’visualisation des candidats.

Le incident que l’inventaire rembourse trop peu appuyé de même achoppement. Ce cherté est presque congruent pénétré les villes itou laize et apprêté tout région, à son tarif.

Brigitte Segard : « un cherté intime et autorisé »

Pour Brigitte Segard, vice-présidente de l’liaison des maires de France, “ces élections législatives ont certes coûté cher mais il est important d’évoquer aussi le coût personnel et moral”. Tout d’voisinage, la uniforme en assis des assemblées de suffrage et des secrétariats a dialectique infiniment de parturition et de vieillesse. De avec, sans arrêt des Européennes, il fallait individu là 15 jours consécutifs, l’opinion d’individu en assiduité chez les assemblées, le réunion verso infiniment de attraction. “Cela se reproduisait chaque semaine, c’était très angoissant et le climat n’était pas serein, nous étions inquiets. Il fallait obligatoirement ramener les résultats, encore une fois avec beaucoup de pression”, ajoute cette dernière. Moments de dodue attention et de assiduité alors que maints ont désolé à elles sang avec favoriser à elles région. À Plaisnace-du-Touch, des épousailles ont même dû individu reportés dans des élections.

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