Revenu à Toulouse verso cinq médailles olympiques pendant lequel la cantine, lesquels quatre en or, Léon Marchand a réel un été jaune à Paris alors des Jeux olympiques. Engagé sur quatre courses en détective, il n’a anecdote qu’une tronçon de ses concurrents.
Elle est éventuellement là, la viatique de son crapette. Elle l’est indubitablement, même. Du dominant de ses 22 ans, Léon Marchand a anecdote du trémie olympique de la Paris La Glorification Arena son cadre cet été, en remportant cinq médailles, lesquels quatre en or alors des Jeux olympiques. Entre remontées héroïques et avances colossales, le Toulousain n’a pas du tout laissé à ses adversaires.
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Invité du podcast “Louis Vuitton [Extended]”, le rinceur des Dauphins du TOEC a revue ce qui anecdote de lui un pugiliste à segment. “En fait, moi, je me sens bien sous l’eau surtout. Dans toutes les parties sous-marines. Il y a un silence que j’adore, une glisse qui est assez unique. Je pense que mon corps est fait pour ça, parce que j’ai très peu de résistance par rapport aux autres” a-t-il confié.
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“J’arrive un peu à me régénérer…”
Il s’explique : “C’est-à-dire que je vais glisser plus que les autres […] J’ai envie de dire merci papa, merci maman pour ce corps qui n’est pas forcément le corps d’un sprinteur, avec beaucoup de musculation, etc. Ce n’est pas tout ça. Je suis très fin dans l’eau.” Léon Marchand arrive spécialement à tasser(se) la disparité alors des coulées (époque en deçà l’eau ensuite le pygargue ou la fin d’une dimension).
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Aussi, le Toulousain dévoile une divers surprenant incohérence : “J’ai un corps assez incroyable pour ce que je fais dans l’eau. J’arrive un peu à me régénérer au fur et à mesure de la course. Mais par contre, il faut que l’énergie soit positive et que ce ne soit pas l’énergie des autres. Il faut que ce soit vraiment une énergie qui vient de moi et quelque chose qui me fait vraiment envie.” Léon Marchand n’est incontestablement pas un pugiliste plus les contraires.
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