Xavier Niel en rock artiste de l’entrepreneuriat à l’Olympia

L’homme d’affaires Xavier Niel, sur la scène de l’Olympia, à Paris, mercredi 18 septembre 2024.

« Bonsoir l’Olympia ! Vous allez travailleur ? Vous êtes chauds ? » Ces phrases, les murs de la comédie de cinémascope du voie des Capucines, à Paris, les avaient entendues des milliers de jour, cependant par hasard de la bouche d’un directeur. Mercredi 18 septembre, le actionnaire de Free, Xavier Niel (possesseur à armoiries autonome du Groupe Le Monde), a récit son spectacle sur cette accrochage métaphorique, à sa comportement, en rock artiste de l’entrepreneuriat, lui qui est devenu cette période, continuateur le éclairé Challenges, la neuvième luxueux de France, alors puis de 22 milliards d’euros.

Devant une comédie obtenue à sa légende – les lieux caves en marché se sont écoulées en quarante-huit heures – et face de quelques invités, également les entrepreneurs Jacques-Antoine Granjon (Veepee) et Jacques Veyrat (Impala), le cambiste Matthieu Pigasse (affilié du palabre de faction du Groupe Le Monde) ou les nation politiques Thierry Solère et Olivier Véran, Xavier Niel a dévêtu, endéans une temps, autonome en accrochage, calculateur manuel et aidé par un télésouffleur, les secrets de sa affluence.

« Faites des fautes. Je suis le roi du verger, et c’est avec ceci que je ne m’en sors pas si mal ! » « Faites garantie aux hétérogènes, c’est la altérité qui récit le gain. » « L’entrepreneuriat est le premier expédient de raviver l’monte-charge affable », a-t-il dit. Dans le ravin, son encensement ressemble à icelui des écoles de direction. Il l’est moins à cause la aguerri. Le rudimentaire palabre dévêtu par Xavier Niel s’intitulait « exposer en forteresse », en catalogue à son séquestration suspendant un mensualité, en 2004, à la forteresse de la Santé, à Paris, avec recel d’injustice de avoirs sociaux et prostitution aggravé.

« Ce ne sont pas les politiques qui changent votre vie »

Ce cinémascope servait de grade à la voyage, le 25 septembre, d’un vendu d’entretiens, calligraphie alors Jean-Louis Missika, édité par Flammarion et titre Une sacrée tentation de foutre le bordel (304 pages, 19,99 euros), en catalogue à l’venue de Free sur le marché du nomade en 2012. « On a réunion pété ! On toi-même a courbaturé des dizaines de milliards d’euros de maîtrise d’conquête. C’est ma supériorité. Louable, ce ne sont pas les politiques qui changent votre vie, ceux-ci qui peuvent réformer votre vie, c’est toi-même, c’est moi-même ! », a-t-il lancé en dessous les « yehaaaa » de la comédie, préalablement de achever par un « miséricorde l’Olympia, miséricorde la France ! », sur l’air de My Way, de Frank Sinatra.

Décidé à latence fabricant, Lancelot, 29 ans, n’a pas appliqué grand-chose, cependant a affectionné le normal récit que Xavier Niel prenne le calculateur : « Cela contesté le gentilhomme mutité des milliardaires qui préfèrent se ternir. » Présent à cause la comédie, Gilles Balbastre, faiseur des Nouveaux Chiens de veille, instructive extrait en 2012 sur les médias et à eux petit alors les latitudes, y voit de préférence une donnée du maîtrise graduel des dirigeants d’industrie : « Pour mon éventuel écran, qui décrira les implications de la mutation numéral et de ses promoteurs sur la ensemble, c’est du mets sacré. » Attendu préalablement 2026, ce instructive s’intitulera Ceux qui gardent la corde.

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