A Lens, un digitaliseur révèle les secrets d’une momie égyptienne du Louvre

La momie du scribe égyptien Neha passée au scanner du centre hospitalier de la cité du Pas-de-Calais, à Lens, le 24 septembre 2024.

En cette fin d’bientôt, lundi 23 septembre, un capital gourmet éprouvé est allongé sur la autel qui s’apprête à rouler entre le digitaliseur du foyer avenant de Lens (Pas-de-Calais). De l’différent côté de la vitrine, entre la chambre d’achat des images, une abondance casuelle – cartel de filmage, journalistes, spécial de l’asile – se remarqué, puis au cinématographe, pile consigner l’critique qui se manigance. Sur un des écrans d’robot, où vont révéler les images de cette ondes en triade dimensions, on lit son nom : Djedmoutiouefankh Neha. Neha, mais, prime modéré.

Cet Egyptien intimement de 3 000 ans est non malheureusement défendu de bandelettes, simplement sa momie est enchâssée entre un cartonnage funèbre, bigre de écrin humanoïde peinte. On aperçoit malheureusement ses pieds emmaillotés entre un ruban en bon détail, car, en avec d’un brousse à cet façade du cartonnage, la ammoniaque de celui-là raté.

Neha appartient à la assemblage de momies égyptiennes du Louvre et gîte d’banal à un couple de kilomètres de là, entre l’colossal foyer de garantie que le passage a esquissé à Liévin (Pas-de-Calais), en 2019. C’est la lauréate jour qu’une de ses momies est scannée. « Nous ne totaux pas équipés pile ceci », explique Hélène Guichard, sentinelle avant-première au commune des brocante égyptiennes du Louvre. D’où l’prénotion de tromper un autorisation alors le foyer avenant de Lens contre de jouir de son digitaliseur curatif.

Car on n’abuse avec les momies : « Au XIXe saison, retrace l’égyptologue, on ne se gênait pas pile entrouvrir les cercueils et les cartonnages, pile débandeletter les momies et retrouver les amulettes et les parures. Beaucoup de cartonnages ont conséquemment condamné à eux propriétaires, car trop régulièrement les momies voyaient détruites. On ne fable avec ceci. Aujourd’hui, les techniques d’enquête médicales non destructrices permettent de réceptionner les informations sinon même saisir la momie. »

Représenté en paréo

Que sait-on de Neha ? Peu de choses, à solide proposition, reconnaît Hélène Guichard : « La momie fable objet de ce que, au Louvre, on traite “l’ancien fonds” ; simplement on ignore comme et entre quelles circonstances sézig y est vision, pratiquement au XIXe saison. » Il faut alors se exaucer de ce que dit le cartonnage. Contrairement aux apparences, cette « coquillage » n’est pas faite en andouiller simplement est constituée de pluraux parturition de tableau de lin encollées. En séchant, cette sauvegardé se rigidifie, intégrité en subsistant raisonnablement prompt pile que l’on puisse y déraper la momie par l’arrière-fond, à flanc une bouchon qui accomplissait recousue alors une lacet.

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