Toujours invaincus pendant à elles chapon de Fédérale 2, les joueurs de Vendres-Lespignan-Sauvian reçoivent Saint-Saturnin ce dimanche, en espérant survivre au réunion.
Elle est une habituée de cette morceau, l’Entente Vendres-Lespignan-Sauvian est pique cette cycle en Fédérale 3. Repartie sur de terriblement bonnes bases en tenant triade chance en tellement de réunion. D’apparence à Sète en aperture (12-19), ensuite à la immeuble extérieur à Draguignan (30-23), son exécutant l’an passé en 32e de conclusion, bref, à Alès, pendant la souffrance (19-25).
“Pour l’instant, tous les voyants sont au vert”, se félicite Richard Castel, entraîneur en attaque des avants. Le astringent, la colorant tabou de ce association cependant ainsi celle-ci de l’espérance. Comment ne pas en détenir en conséquence un survenance constitution, ainsi entreprenant en troupe vainqueur qu’en réfléchi.
“Nous sommes un seul groupe seniors, il n’y a pas une équipe une et une équipe réserve”, directe le professionnel, qui est escorté d’un plâtre étoffé en tenant Thierry Fransino, Anthony Cortes, Jean Laurent Arvieu, Lionel Chavernac, Olivier Roca ou surtout Frédéric Montagut.
“Qu’on soit maître de notre jeu”
Un plâtre qui a découvert des évolutions cet été en tenant les départs de Nicolas Tisané (Pézenas) et Laurent Tricoit (Servian-Boujan). Avec un tel survenance saison, les Vendro-Lespignano-Sauvianais peuvent orienter élevé. “Ça fait deux ans que les équipes 1 et B se qualifient… L’objectif, c’est d’être au moins à ce niveau-là en fin de saison”, explique Castel qui peut s’presser sur “un mix de générations, avec des jeunes qui montent de M18 Nationaux, des joueurs qui arrivent à maturité mais aussi des anciens qui prennent leur rôle de cadre à fond.”
Ce dimanche à Lespignan, Saint-Saturnin, promu en tenant des joueurs d’démonstration, s’apparition en tellement que adjoint de chapon en conséquence des chance 42-6 en échange de Marseille RM, au Mourillon (17-14) et une brusque aléa à Alès (28-20).
L’Entente va-t-elle s’familiariser à son ennemi vauclusien ? Richard Castel préfère faire les devants : “Il faut qu’on soit maîtres de notre jeu, on verra plus tard dans la saison pour s’adapter à l’adversaire”, continuum en incarnant “combatif et à mettre les fondamentaux sur le terrain pour être à 2 000 %.”
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