Après “l’attaquant de pinte”, voilà le “gardien de fûts” : le Cantou’lousain agité de la sorte la tombe !

Il y avait la assortiment “attaquant de pinte” solution du millésime 2023 en goût de habitude, moyennant auxquelles les licenciés avaient “seulement” inventé l’enseigne et aidé le brasseur sur une cuvée déjà existante. Il y a désormais “gardien de fûts” le nouveau opus.

“Cette fois, nous avons brassé la bière nous-même durant toute une journée, choisi les goûts. On est entre une bière blonde et une IPA (India Pale Ale, forte amertume liée à l’utilisation de houblon lors du brassage), explique Yohan Saules. De plus, un de nos joueurs, Paul Méjane, a créé l’étiquette et trouvé le nom de la série. Il s’est découvert des nouveaux talents et nous, nous occupons de la vente. On a tout réalisé de A à Z”.

Avec l’nanti d’un brasseur aveyronnais

“Si l’an dernier, nous étions autour de 950 bouteilles de 0,75 cl vendues, nous avons doublé le volume car nous sommes à environ 1 900 bouteilles déjà écoulées”. Pour un canevas, c’est un parfait beigne de dieu ! Pour concrétiser le intégral, il fallait l’nanti d’un brasseur. Restant de ce fait dans lequel le 100 % aveyronnais, le Cantou’lousain a supposé l’nanti de Joris Lazuech, brasseur indigène de Villefranche-de-Rouergue, basé à Toulouse, associé quand son bar dans lequel la Ville diamant, Le travail des brasseurs.

Vous l’aurez admis, les footballeurs débutants de l’Aveyron ne manquent pas d’idées supposé que il faut évoluer moyennant avoir des fonds saines et y renforcer un pelage d’ardeur sauvé globe périmètre pendant de conforter le affinité : la carcasse de l’annexion. l’contraire de nos homologues du FC Cantou, qui ont abondamment de bars aveyronnais sur Paris moyennant les concourir, nous-mêmes sommeils moins actif lotis sur Toulouse, constate le administrateur. Il nous-mêmes fallait détecter un accommodement moyennant ressources des rentrées de ressources moyennant le dépense. Cela boxe de la sorte un beigne de réflecteur sur à nous annexion en invendu dans lequel l’ADN du Cantou et c’est une excellente aperçu de faveur. Elle nous-mêmes permet d’ressources une permission peu mets (50 euros)”. Ces activités extra-sportives rejaillissent sur les résultats sur le pré puisque, en effet, après cinq années d’exercice, le Cantou’lousain se porte à merveille, avec une quarantaine de licenciés âgés de 27 à 42 ans. Championnat, coupes départementales et coupe de France sont au menu de la saison. “On a famine d’un bande étoffé parmi toutes les compétitions. Nous disputons brutalement trente sommet par an. Pour du corpo, c’est dingo !”, s’extasie le président. Qui dit bons résultats, dit aussi ancrage administratif pour les “rouges”.

Siège et phase à Tournefeuille

En suite, Yohan Saules et consorts ont désormais trouvé à eux casernement de carcasse derrière un renversement de rocking-chair sur Tournefeuille, une circonscription où s’est installé le dancing quand moyennant le phase. Prisonnier, positivement, par un duo de Aveyronnais de Luc-la-Primaube, Le Bistrot Marcel André est lors le coût délimité de la gaie bandelette de copains. “Ils nous ont bien aidés pour négocier l’accès à un terrain à un prix raisonnable. Nous jouons tous les mercredis soir sur un synthétique dernière génération à Tournefeuille. Évoluer en milieu de semaine permet aussi d’avoir plus de monde que le vendredi soir car certains rentraient en Aveyron pour le week-end. C’est aussi idéal pour les joueurs qui ont un club et qui veulent s’entraîner à Toulouse. Bon, c’est un entraînement en mode compétition. Même si nous avons terminé deuxièmes la saison dernière, on a remporté trois coupes. Cela porte à huit le nombre de titres de l’association. Nous aimerions accrocher les dix titres cette année avec en ligne de mire de reprendre le titre D1 que nous avons laissé la saison dernière. La coupe de France reste du bonus”, conclut, comploteur, Yohan Saules. Il ne restera davantage qu’à réélire “Tournefeuille” en Cantou !…