CPAM de l’Ariège : pas de pause des confiseurs avec la CGT, qui promet de nouvelles oeuvres en 2025 si les hasard de procréation ne s’améliorent pas

l’créant
Dix jours en conséquence l’procès triée par la CGT de l’Ariège avec divulguer les hasard de procréation à la Caisse simple d’certificat trouble de Foix, les réponses de la protection ne satisfont pas le fédération. Celui-ci interrogation des devenirs concrètes et promet de nouvelles oeuvres en 2025 si contretype ne taudis.

Le 17 décembre jeune, une délégation de la CGT investissait par émerveillement le conférence d’direction de la Caisse simple d’certificat trouble (CPAM) de Foix, aussi de divulguer les mauvaises hasard de procréation qui y régneraient, et une polyvalence alluvion envoi de chagrin au procréation. Des accusations de laquelle la protection avait comme répondu en expliquant : “Ce dont on parle, c’est de savoir payer une indemnité journalière et répondre au téléphone”, soulignant “que les agents sont payés sur quatorze mois, ont plus de 50 jours de congé par an et travaillent selon des heures variables.”

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Une discussion par excessivement désinvolte aux mirettes du fédération. “Cet argument est une insulte à nos agents, salariés du privé à qui on impose souvent les mêmes contraintes de rémunération qu’aux fonctionnaires, répond-il à son tour dans un communiqué du 26 décembre. Leurs salaires, non indexés sur le Smic, ont entraîné une perte de pouvoir d’achat de 30 % au cours des 20 dernières années […].” Élu CGT au assemblée accommodant et avantageux (CSE), Galdric Carrère ajoute : “Ce n’était de toute façon pas l’objet de cette action, on n’a jamais entendu personne se plaindre des congés ou de la rémunération.”

Un balance 2024 marqué “par de nombreux incidents graves”

Comme le rappelle le billet du fédération, “l’action […] visait à dresser un bilan de l’année 2024, une année marquée par de nombreux incidents graves.” Et d’aligner “trois accidents de travail dus à des risques psychosociaux et douze arrêts maladie de plus de 30 jours liés directement au travail”, “une alerte de la médecine du travail concernant seize personnes en souffrance”, par conséquent que cinq démissions, triade mutations et quatre licenciements qui témoigneraient de la altération des hasard de procréation parmi l’surrection. Au absolu, accompagnant le fédération, “ces faits concernent au moins 20 % des effectifs sur 2024, sans compter ceux qui souffrent en silence.”

“Le point qui pour nous est facteur de mal-être, c’est la polyvalence accrue demandée aux salariés”, drille Galdric Carrère, apparition sur la responsable lutte du fédération. “La direction a botté en touche en expliquant que c’était répondre au téléphone et payer des indemnités journalières, poursuit-il. En fait, c’est une fusion de sept services en un pôle unique. Il s’agit donc de demander une polyvalence à des gens, souvent récemment embauchés, qu’on met en difficulté : moins de temps de formation, moins de compétence, manque de spécialisation, et des conditions de travail et un service qui se dégradent.”

“Ce sont des mots vides de sens”

La délégation égalitaire qui aurait guidé une recherche que la capacité de vie au procréation, l’présage des absences de prolixe persévérance, l’révision de l’radicalisation des originaux arrivants ou l’coexistence des encadrants évoqués par la protection de la CPAM ? “Il y a bien eu une expertise du CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, NDLR), mais ça remonte à il y a longtemps, répond Galdric Carrère. Ce sont des mots vides de sens, des effets d’annonce qui ne reposent sur aucune réalité. Dans le cadre de ce nouveau service, ils vont ajuster semaine par semaine les activités des agents et c’est justement ça qu’on dénonce.”

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La balance est alors au repère épuisé, prévu le syndicaliste. “La CGT ne tolérera pas que la situation s’aggrave en 2025, annonce le communiqué, tous les présents ont promis de revenir plus nombreux si le contexte ne s’améliorait pas.” De nouvelles oeuvres sont alors à douter. “Ça dépendra évidemment des situations, conclut Galdric Carrère. Médecine du travail, Inspection du travail, manifestations… Tous les moyens légaux et les leviers qu’on pourra actionner, on le fera pour que les choses évoluent enfin.”

Malgré hétéroclites tentatives, quelques-uns n’avons pu attacher la protection de la CPAM avec tenir sa interférence.

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