Manager vrai du cycle gaulois, le chef de l’ramassis Groupama FDJ, 65 ans, apposition son attention sur l’cours d’une discipline lesquels il suit l’cours depuis de terriblement nombreuses années.
“De la 504 au jet privé”. Voici le traité de l’édito que Marc Madiot a orné envers son humain journal à cause Bicyclette Star, son expliqué installé au cyclisme. L’vieillot sprinter et directeur vrai du cycle gaulois est aujourd’hui âgé de 65 ans. Cela évènement mitoyen de 50 ans qu’il baigne à cause ce compagnie, observant ses devenirs, non sinon azimut dénonciation.
“Dans le temps, les coureurs se déplaçaient dans la 504 blanche […] avec les vélos sur le coffre, on faisait une trentaine de kilomètres pour aller d’un critérium à un autre”, rembobine-t-il à cause un entrevue à L’Escouade. “Là, ce n’est pas du tout une critique, je vois Van der Poel qui arrive sur les cross en Belgique avec sa Lamborghini, qui va à Besançon avec un jet privé, qui prend 50 000 euros par course (une somme avancée par la presse italienne, non confirmée par le coureur, NDLR). Tant mieux pour lui, mais je me dis que le vélo est en train de changer de dimension et d’époque.”
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Marc Madiot chéri qu’aujourd’hui, quelques sponsors ou Listes qui financent des équipes “veulent générer des profits comme dans le football”. Pour le cycle, “ce sera le match suivant”, conformément Madiot. “Les droits télé, les transferts, les nouveaux marchés… Si on regarde les autres grands sports, on constate une globalisation croissante, ce qui, aujourd’hui, n’est pas le cas du cyclisme. Toutes ces grandes puissances financières qui arrivent dans ce milieu vont vouloir, je suppose, reproduire les mêmes mouvements pour arriver à des résultats identiques.”
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Et Marc Madiot de réussir : “Ces gens-là arrivent avec d’autres expériences, dans d’autres milieux, sportifs ou économiques, et j’ai peur pour l’équilibre éthique du vélo, dans tous les domaines.” Y reçu à cause le seigneurie du dopage, sur lesquelles la “professionnalisation à outrance” pourrait entreprenant des conséquences, “parce que, dans ce système, il deviendra inacceptable de perdre.”
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