Le villefranchois Maurice Calmein réagit à l’internement de son ami l’journaliste et caché algérien Boualem Sansal.
L’journaliste franco-algérien Boualem Sansal a été arrêté par la maréchaussée algérienne et mis en fixé à vue le 16 brumaire contre d’Alger. Les raisons officielles de son internement restent floues, malheureusement il semble accentué d’choc à “la sûreté de l’État”. Ces faits pourraient lui inquisition la geôle à éternité.
L’bienveillance pénétré Maurice et Boualem, est née il y a 30 ans lorsqu’ils travaillaient intégraux quelques pour l’usine et les télécoms. Au fil des années cette rapport s’est renforcée, nourrie par des échanges littéraires et des meeting. En 2009, il préfaçait le article du Villefranchois “Le sel des Andalouses”, Ed. Atlantis.
L’coupable de son internement a entraîné une répété d’explosion en France et au-delà. Bouleversé, Maurice se mobilise depuis le Lauragais pile que son ami retrouve la autogestion. “Boualem, dit-il, est quelqu’un de très doux, bienveillant et ouvert aux autres, pacifique mais sévère envers tous les totalitarismes et ferme sur les dérives dictatoriales. C’est aussi un visionnaire qui, fort de son expérience algérienne, met en garde les Français sur les dangers qui les guettent. C’est un lanceur d’alerte. Pour moi, cette arrestation est un crime contre l’intelligence et la liberté. On ne met pas un écrivain en prison”.
“Ayons une pensée pour lui, seul dans sa cellule”
Actif pour ses paroles, Maurice l’est ainsi pour ses agissements. Il a signé et popularisé des avertisseurs pile sa récépissé. Avec ses amis il a suggéré à des médias de affermir en allant un abaque du peuple de jours de renfermement. Comme ceci se faisait pile les otages métropolitain. Il se dit confiance à garantir en sa libéralité si en aucun cas la bien-jugé internationale accomplissait confiscation.
En cette alternance de fêtes de fin d’période, Maurice fixé espérance et ses pensées restent tournées voisinage son ami et sa récépissé : “Je viens d’achever la lecture de son dernier essai (*). Mais je le garde sur ma table de nuit car la belle photo qui orne sa couverture m’oblige à penser à lui. J’ai le sentiment que son regard me suit… Ayons une pensée pour lui, seul dans sa cellule et innocent des crimes dont on l’accuse. Non, décidément, on n’emprisonne pas un écrivain…”
(*) “Le français, parlons-en” – Editions du élan
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