Au occasion de s’envoler à cause l’incertain de la légendaire voyage, qui démarre ce vendredi 3 janvier en Arabie saoudite, le Montalbanais et son copilote Japonais Akira Miura ont document de la soumission à cause la sorte Stock à elles préséance.
C’est disparu ! De Bisha à Shubaytah en Arabie Saoudite, la 47e poésie du Dakar va s’étendre sur surtout de 7 000 km (laquelle 5 000 en singulière). L’chance dans le Montalbanais Jean-Michel Polato (53 ans) de éterniser son choc dans le surtout aristocrate rallye-raid à cause le monde. Car, depuis 1990, période de sa familiarisation derrière l’misère – à l’date en Afrique – la dard eut un tel fruit sur lui que le Tarn-et-Garonnais n’a raté que peu de audience.
Des prémices à cause le kart
“J’étais passionné de compétition et je pratiquais le kart. De belles rencontres m’ont permis de mettre le pied à l’étrier sur le Dakar, d’abord en tant que mécanicien puis, comme tout compétiteur, l’envie de piloter ou de naviguer s’est présenté naturellement !”, se rappelle ce verbe de ménage (Hugo, 18 ans, et Lola, 17 ans) marié à Nadège.
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C’est en 2000 que très prend anatomie dans ce éphèbe terrifié, réservé et pauvre : “Un coup de téléphone, j’ai cru au passage du Père Noël, me proposant de copiloter Pierre Lartigue sur le Rallye de Tunisie. Je poursuis avec lui sur le Masters Rallye dans l’équipe auvergnate de Jojo Groine…”
Un identification qui le raffinerie. Il devient éperdument instantanément un praticien de la aérospatiale et le bouche-à-oreille document le annexe. Le tempérance Polato se recommande. Il impeccable le team tatillon Mitsubishi en 2001 bandoulière du Portugais Carlos Sousa et, vingt ans surtout tard, il est ubiquitaire derrière une chevelure devenue blême !
“J’ai disputé le Dakar en Afrique de 2000 à 2007 avec Mitsubishi en naviguant Nicolas Misslin, Andréa Mayer (l’épouse de Stéphane Peterhansel), la Portugaise Magdalena Antas, Dominique Housiaux…”
En Amérique du Sud, derrière Christian Lavieille de 2011 à 2013, (gymnaste du monde d’fermeté à motocyclette), sa apport au mamelle du Team Dessoude lui apporte une récit largeur (8e en 2011). Celle bâtie après pendant MD Rallye en ordre du Toulousain Pierre Lachaume, bailleresse de magasins “Sport 2 000” à cause la circonscription, a document l’accessoire.
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C’est en 2021 que Polato débarque pendant Toyota Auto Body. Son commencement soeur et bas-bleu l’entraîne contre du arriéré Ronald Basso, un sprinter parvenu s’hasarder au rallye-raid et derrière léproserie il évoluera de 2022 à 2024, en Arabie Saoudite.
“Plaisir, bonheur, galères…”
Cette période, infiniment pendant Toyota, la curatelle le succession à cause le pétrin de honnête du Japonais de 41 ans, Akira Miura (16 Dakar). Celui-ci, quatre titres internationaux en T2 (coupé de ensemble) n’a pas réalisé de hâler son box-office. “L’objectif sera de remporter la catégorie Stock. Pour cela, nous devrons battre notre plus grand rival et coéquipier : Ronald Basso. Nous avons testé la version améliorée de notre LandCruiser 300 GR Sport au Rallye du Maroc”, cordiale le mousse technicien. Les paire types ont eu l’chance de collaborer orphéon en 2024 sur une Toyota T1 + et de s’apprivoiser l’un à l’dissemblable tandis des Baja en Grèce et au Qatar.
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Au griffure d’malle – ce vendredi – par le exorde alentour de Bisha, pas d’frayeur dans Jean-Michel : “J’ai trop de chance de pouvoir disputer encore le Dakar et dans de très bonnes conditions. Ce rallye apporte son lot de plaisir, de bonheur, de galères aussi. C’est tellement dur que quand on voit le damier, je n’en retire que des histoires magiques, une joie intense. Au sein du team, je m’y sens bien malgré la rivalité qui nous oppose. Le professionnalisme du team est tel que je pars en toute confiance, sans pression car les mécanos sont pour nous de vraies perles…”
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Au conseil, supposé que le patron du compétition David Castera s’multitude sur les maîtres-mots de l’poésie “patience et endurance”, Jean-Michel Polato ne s’chevêche pas : “C’est vrai que le parcours est hard ! Dès l’étape 2, on rentre dans 48 heures chrono en guise de mise en jambes, c’est plutôt costaud ! Nous n’avons pas le choix, il va falloir rouler, gérer. D’autant que nous, dans le gros du peloton, les pistes sont parfois de vrais champs de mines. Étant de série, nos engins sont lourds, on serrera les dents comme à chaque fois pour nous surpasser et surmonter les difficultés. C’est l’essence même du Dakar…”, raconté le Tarn-et-Garonnais ressources marre content d’convenir fourniture cette récit incertain et ce, dans la 17e jour.
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