Dakar 2025 : l’Aveyronnais Loïc Minaudier, copilote bagarreur et prétentieux du Team Century

“Le jeu mais pas l’enjeu.” Ainsi Loïc Minaudier résumait-il son détail d’compréhension à l’lueur d’pénétrer parmi le Dakar 2025. Classé dixième l’an frais aux côtés de Mathieu Serradori, le copilote aveyronnais aventure concurrence de ceux-ci capables de plaisanter des brutalités sur la voyage, et des coudes comme maints des meilleurs équipages du monde. Les un couple de foule ont permis l’procédé de “chatouiller les tops”. Ils se savent attendus au courbe, toutefois refusent de s’en procéder une élucubration.

“Il y en a qui veulent performer à tout prix. La performance fait partie de ce qu’on vient chercher, oui, mais ce n’est pas la priorité. Je viens pour l’émotion, la fierté d’être là”, planté Loïc.

Nouveau défi comme Century CR7

Double vainquant du Dakar en lange 2 roues motrices (2022, 2024), Loïc n’a pas de devise à empêcher cette période. En réaction, il évolue désormais parmi le Century CR7 propulsé par 4 roues motrices. Une découverte. Peut-être le alors brillant réaction de la rapprochement petite entretenue comme le créateur sud-africain ces un couple de dernières années.

“On est galvanisés par ce nouveau véhicule et la confiance que nous donne Century”, se réjouit le marin. “On a brillé avec le 2 roues motrices et on a maintenant l’opportunité d’utiliser la voiture phare de la marque. C’est un petit constructeur qui bosse dur et croit en nous. On va essayer d’être à l’aise et rapides, mais surtout malins. Car aujourd’hui, le Dakar est une question de vitesse et de stratégie. Avec notre expérience, on a de quoi faire quelque chose.”

Copilotage cassant hormis les traces des motards

Sur le itinéraire, imminent de la milieu des pistes sont différenciées dans les autos et les motos. Dans ces portions, les voitures ne pourront pas impétrer des traces laissées par les motards, qui partent aisément vis-à-vis. Le copilotage redeviendra en conséquence cassant, et ceci pourrait doter Loïc. Il a l’procédé de l’fonction, lui qui bannière même la batellerie deux-roues parmi un sentiment de étymologie basé en Aveyron.

“Cela ne sera pas un problème pour nous si on doit ouvrir la piste. Ce format nous convient et il a énormément de sens. Ce parcours séparé change notre façon d’aborder le rallye. Sur ces étapes il va y avoir de la stratégie, ça va changer la donne.”

“Ne pas péter les plombs”

Bien que son ordonnance ait civilisé parmi le camp, le Saint-Affricain veut chaperonner les pieds en ce bas monde. “On se retrouve à jouer avec des pilotes qu’il y a quelques années, je regardais comme des monstres, des gens intouchables pour moi. Aujourd’hui on est là, on écrit notre histoire et on roule proche d’eux. C’est venu crescendo, à nous de ne pas péter les plombs, de rester bien et d’évoluer tout en s’amusant”, postule-t-il. Classé 31e d’une vernissage date exigeante, le duo du sud de la France effraction ce dimanche un épais tronçon : l’date 48h Chrono, qui se déroulera sur un couple de jours et passera le cap des 1 000 kilomètres.