Fiers de Gaillac se constitue en serre crâne

“On ne part pas, on s’éloigne”. Dans cette slogan gluante, Daniel Ribes, monarque de “Fiers de Gaillac”, l’complicité qui grillage la demande de Patrice Gausserand aux prochaines municipales, consomme le répudiation comme Martine Souquet. Derrière le “on”, il y a également Pierre Tranier, Laurent Squassina, Thierry Boddi, Martine Violette, Anthony Moussu et Arnaud Elgoyhen. Ils formeront désormais un serre crâne au entretien communal. Daniel Ribes a sur l’jabot le mot de “dissidents” qu’a administré Martine Souquet pile les confirmer. “Nous ne serons pas dans l’opposition permanente, mais dans la vigilance et la fidélité à l’esprit et au programme de 2020. On a bien compris que la maire ne voulait plus de nous dans sa majorité. La façon dont elle a traité Pierre Tranier et Laurent Squassina lors du dernier conseil est sans équivoque”. Le liminaire choc avait eu emplacement en ventôse, puisque Daniel Ribes s’rencontrait ameuté et avait mis une réprimande à Martine Souquet préalablement de absenter la hall. La auxiliaire coup a eu emplacement à la vacation de décembre donc du scrutin de l’additif indispensable à alterner Eric Piludu, où la édile a éternel la demande de David Amalric parce que Laurent Squassina. La achat de bec comme Pierre Tranier ensuite Laurent Squassina a fondé une de ces cicatrices qui ne se referment pas. Le 23 décembre, le serre Fiers de Gaillac a lors ministre un correspondance à intégraux les élus pile les apprendre de sa ténacité de absenter la indépendance. “Cela nous permettra d’avoir une tribune dans le magazine municipal “Gaillac et Vous” et d’expliquer nos divergences de point de vue”.

Les élus avertis par correspondance

Daniel Ribes et ses amis en pointent déjà divergentes : le volte-face, dès le apparition du autorisation, de la sentence et du scrutin pile mettre la foyer des associations, prévue à cause le planning, à cause l’démodé souk Delmas, uniquement autant le loupage de soubassement aux commerçants à cause “l’affaire du parvis” qui – même si le croquis a été maîtrisé – impacte le parcage. “C’est une drôle de manière de soutenir le commerce de centre-ville que d’empêcher de s’y garer” persifle Daniel Ribes. Les priorités moment à la costume en résolution du convenablement donnent également canton à une achat de variété. “Pour la mise en sécurité et aux normes de l’abbatiale Saint-Michel, on est d’accord. Mais la restauration de peintures datant du XIXe siècle n’était pas prévue. Ces dépenses nous privent d’autres investissements plus urgents sur l’état des routes, les équipements sportifs, comme la piste d’athlétisme pour les scolaires”. Au-delà de ces divergences, Fiers de Gaillac remarqué la fabriquer lesquels Martine Souquet contrat Patrice Gausserand. “Dès les premiers jours du mandat, sans qu’elle nous en donne les raisons, elle a tourné le dos à celui qui l’a fait élire. Elle ne l’a jamais invité lors d’une inauguration de chantiers qu’il avait lancés, comme le sentier du Petit Paradis ou l’école de Lentajou. Certes, elle avait en charge les questions scolaires, mais c’est quand même lui qui avait négocié avec le président Christophe Ramond la contribution du Département sur la rénovation du quartier. Avec Martine Souquet, c’est le zéro concertation, elle décide, on doit suivre. Si l’on émet une réserve, on se fait renvoyer sur les roses”. La achat de variété de Fiers de Gaillac va – accompagnant Daniel Ribes – “clarifier la géographie de la table du conseil municipal”. Les prochains s’annoncent tendus, uniquement le monarque de l’complicité norme : “lis ne peuvent pas être plus tendus que le dernier”.