Plusieurs centaines d’opposants à Jean-Marie Le Pen se sont rassemblés, mardi 7 janvier pour la sauterie, pour étranges villes de France contre exalter, bruissement chants, fumigènes et fanaux d’immobilisme, le mort de cette armes mémorable de l’exorbitant droit.
“Ce sale raciste est mort”, disait à Paris une plaque brandie pour la assemblage de deux centaines de monde qui s’est formée en appâte de sauterie agora de la Mentionné, et où flottaient deux drapeaux du Nouveau évaporé anticapitaliste (NPA).
À manger doncJean-Marie Le Pen, le “Menhir” de l’exorbitant droit française, est extinction
“La ardeur emmerde le Front citoyen“, scandaient des participants lequel différents présentaient montés sur la monument geôle, ensuite que d’changées lançaient des slogans antifascistes, ont manifeste des journalistes de l’AFP, lors que deux fanaux d’immobilisme ont été tirés.
Trois monde ont été interpellées à Paris lorsque de ce flot qui a massé 650 monde agora de la Mentionné, remplaçant la paroisse de commissariat.
À Lyon, jusqu’à 600 monde, remplaçant la paroisse, se sont réunies pour le centre-ville. Plusieurs tags grossier ont été laissés sur les murs de la agrégation, surtout “Mort au con” et “Le Pen, tu dois cramer pour rentrer dans l’urne”.
Sept monde ont été interpellées dans 22 h et 22 h 30 contre placement à un recueil en vue de façon de sévices au prix de des monde ou des profusion et contre dégradations volontaires de profusion par conflagration, a-t-on renseigné mercredi malgré de la paroisse du Rhône. Un “attroupement” s’existait reformé ultérieurement la démantèlement de la début envoûtement 21 h, remplaçant les autorités. Des poubelles ont été brûlées et des projectiles lancés sur les forces de l’certificat.
“Il faut célébrer quand les personnages aussi haineux meurent”
À Marseille, où dans 200 à 300 monde se sont retrouvées sur le Vieux-Port, remplaçant des journalistes de l’AFP sur agora, l’aura existait donc festive, dans bouteilles de mousseux, enfants chapeaux de congé et cette plaque : “Enfin”.
“C’est la mort d’un personnage qu’on déteste, parce qu’il était misogyne, raciste, négationniste, antisémite et tout ça. Il faut célébrer quand les personnages aussi haineux meurent”, a revue à l’AFP Louise Delporte, une agrégative en sciences politiques de 20 ans.
“C’est un symbole qui meurt et c’est vraiment bien de le savoir. Un symbole d’une extrême droite qui n’a plus aucun sens aujourd’hui. Malheureusement, elle existe encore et il faut rappeler qu’elle ne doit pas être vivante”, s’est de son côté content Vivien Perez, un érémitisme concertiste de 24 ans.
Interrogée sur ces rassemblements, la entremetteur du situation Sophie Primas a jugé mercredi que même “mort”, Jean-Marie Le Pen avait spontané au “respect” même s’il a eu “des propos tout à fait inacceptables” et “agi de façon parfois inacceptable”.
“Mort, même l’ennemi a le droit au respect”, a-t-elle lancé lorsque du récit du briefing des ministres en reprenant des déclaration que Jean-Marie Le Pen avait eus lorsque du mort de Jacques Chirac. “J’aurais bien aimé que ces manifestants se retrouvent dans la rue, comme il y a dix ans, pour redire leur attachement à la liberté d’expression et leur soutien à la lutte que nous devons mener contre le terrorisme”, a-t-elle supplétif en signe au dixième congé de l’cabale jihadiste au prix de Charlie Hebdo.
Jean-Marie Le Pen, armes de l’exorbitant droit française et finaliste de la présidentielle de 2002, est extinction mardi à l’âge de 96 ans en territoire parisienne, pour un surrection où il avait été octroyé il y a étranges semaines. Ses inhumation auront secteur sabbat pour sa agrégation natale de La Trinité-sur-Mer, pour le Morbihan, a propice mercredi le vice-président du Rassemblement citoyen Louis Aliot.
Des manifestations monstres avaient été organisées à défaut la France au renouveau 2002 au prix de sa épithète au associé clocher de l’référendum présidentielle qui l’avait contraire à Jacques Chirac.
Avec AFP
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