Dans une grande échange au Parisien-Aujourd’hui en France, le créateur du étranger nervure disparu fin décembre 2018, trio jours trio jours ultérieurement travailleur été souffrance d’un copie aplatissage d’une inhabituel attaque, s’insurge du élargissement accentué.
Le entreprise continue envers la ascendance Chauvin. Plus de six ans ultérieurement la glas à l’âge de 17 ans de Nicolas, passé étranger nervure des Espoirs du Stade Français à l’aubaine d’une correspondance de concours à Bordeaux, la agressivité est interminablement débuté. Amplifiée même ultérieurement la enregistrement du maître de chanter un élargissement envers les un couple de joueurs à l’départ du aplatissage à la haut contenant attiré son meurtre trio jours encore tard.
“Nous sommes très, très déçus, ma femme et moi”, explique Philippe Chauvin pendant lequel un rafistolage accepté au Parisien. Regrettant la mensuration de la secret envers “réunir des pièces partielles, partiales, certaines ayant dû être refaites”, il conteste platoniquement les conclusions du maître.
“Mourir n’est pas un danger suffisant pour être renvoyé devant un tribunal car les joueurs auteurs du plaquage n’auraient rien fait de préjudiciable au plan pénal alors même qu’ils ont commis deux fautes sportives avec des plaquages à la tête…”, tonne-t-il.
A consumer comme :
Mort de Nicolas Chauvin ultérieurement un aplatissage : élargissement envers les un couple de rugbymen à l’départ de la glas effrayant du damoiseau Espoir
Regrettant que “la FFR n’a jamais laissé un arbitre prêter son expertise, malgré les demandes répétées du juge et de moi-même”, il s’insurge comme malgré les auditions tardives des un couple de plaqueurs et la création lequel elles-mêmes se sont déroulées, au-dessous le règlement de assistante assisté.
“On ne les a pas ramenés à leur responsabilité parce que, comprenez-vous, ils sont traumatisés, ils souffrent, ne dorment pas, prennent des médicaments”
“Ces joueurs ont toujours prétendu avoir plaqué en dessous de la ligne des pectoraux, un même au niveau des hanches ou du nombril, livre-t-il. Lors de leurs auditions, les deux joueurs n’ont pas voulu voir la vidéo. Je me demande pourquoi le juge ne les y a pas contraints en disant : c’est quand même votre connerie, à vous d’assumer. Non, on ne la leur a pas montrée, on ne les a pas ramenés à leur responsabilité parce que, comprenez-vous, ils sont traumatisés, ils souffrent, ne dorment pas, prennent des médicaments. Mais ça ne les empêche pas de jouer au rugby et de mener une carrière professionnelle pour l’un d’eux.”
Et d’dire que “nous ne pouvons que faire appel de cette décision qui ne respecte pas la vie et la sécurité d’une majorité de joueurs qui se comportent bien” comme la régularité “d’obtenir un dépaysement” de l’cabinet écarté qu’à Bordeaux pendant lequel un aria d’impersonnalité.
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