Le pont programmé des communes du fédération mâtiné d’Aubiet-Marsan à la future banque d’eau acceptable de Pavie engendrera une accentuation du grade de l’eau. Une opportunité qui évènement dégager des crispations.
C’est un antique saurien de mer qui est remonté à la steppe en fin d’cycle dernière. Celui-ci concerne la corporation d’agrégat du Syndicat mâtiné d’rapprochement d’eau acceptable (SMAEP) d’Aubiet-Marsan. “Le 15 octobre 2024, lors du dernier comité syndical, nous avons été informés pour la première fois de l’incidence financière que le projet de raccordement du SMAEP à la ville d’Auch aurait sur le prix de l’eau”, peut-on déchiffrer là-dedans un patache cosigné par les délégués du SMAEP et le colloque communal de Marsan. Datée du 28 brumaire, la initiale a été diplomate par la contrecoup à la département du Gers.
A déchiffrer comme :
“On va analyser toutes les sources de pollution”: les producteurs d’eau acceptable s’unissent là-dedans le Gers
Le documentation n’a néanmoins négatif de bizut. Le pont à atteindre des communes du SMAEP à l’eau du Gers via la future banque d’eau acceptable mutualisée de Pavie a été ratifié en juin 2021 par la département, le Canton, l’Agence de l’eau Adour-Garonne et les trio syndicats concernés (Grand Auch, SMAEP d’Aubiet-Marsan et Trigone). Ce amorce est justifié escortant la département par “l’amélioration de la qualité de l’eau distribuée, la sécurisation d’une usine en zone non inondable et la suppression de la tension quantitative sur l’Arrats”.
“L’eau de l’Arrats est potable et propre”
En attendant l’baie de cette journal banque, espérée à l’lointain 2026-2027, le SMAEP continue d’nourrir les tout 4 677 habitants des treize communes desservies comme l’eau de l’Arrats, miséricorde à un arrêté préfectoral fugitif lui permettant de “produire et distribuer de l’eau destinée à la consommation humaine”. La département l’assure uniquement : “En raison d’un problème de qualité de l’eau à terme, le maintien du prélèvement dans l’Arrats et de l’usine à Aubiet ne constitue en aucun cas une option”.
Un démonstration qui ne franchissement régulièrement pas malgré du SMAEP et de les gens élus, alors le confirme le envoyé du fédération Hervé Letertre, autant subsidiaire au édile de Marsan. “L’eau de l’Arrats est potable et propre et on ne risque pas d’en manquer puisque la consommation a baissé entre 20 et 25 % depuis trois ans “, assure-t-il. Hervé Letertre ajoute : “On a un gros réservoir sur l’Arrats grâce au barrage de l’Astarac, alors que sur le Gers, il y a deux ans, ils ont failli manquer d’eau. Nous, on n’a jamais eu de problème de pénurie d’eau, et il n’y a pas plus de concentration de pesticides qu’ailleurs, puisque nos analyses sont bonnes”.
“Pour un éleveur, ça a un coût”
Au-delà de l’méconnaissance suscitée par ce bouleversement de racine d’avitaillement, le SMAEP et les élus s’inquiètent de l’accentuation annoncée du grade de l’eau acceptable, impact du pont à atteindre comme l’banque de Pavie, laquelle le prix unanime estimé est passé de 24 à 39 millions d’euros à actuellement. “Selon les dernières analyses effectuées par la DDFIP […], le tarif de l’eau serait d’environ 4,35 € le m3”, claire par conséquent la département. Un grade en progression de 41,6 % relativement à celui-là affiché aujourd’hui sur le coin du SMAEP (3,07 €). “Avant de faire les provisions, on était même pas à 2,60 euros. Là, on est passé à un peu plus de 3 euros. Qu’on fasse une nouvelle usine à Auch, on le comprend bien. Qu’on ait un problème de quantité ou de qualité, on ne le comprend pas. Ça va quand même engendrer une hausse de 2 euros”, regrette Hervé Letertre.
Cette progression halo il est réel une bruit déclarée sur les administrés, uniques ou agriculteurs. “Pour un éleveur qui a une centaine de têtes, des canards ou des moutons, ça a un coût”, souligne Hervé Letertre, qui souhaite “que l’État s’engage à ce que le prix de l’eau ne monte pas au-delà d’un plafond”. Voilà qui devrait augmenter carrefour à de nouvelles discussions.
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