En Corée du Sud, des chamans impliqués pendant lequel le égratignure d’Etat manqué

LETTRE DE SÉOUL

Le caractère chinois signifiant « roi », visible sur la paume de Yoon Suk Yeol, alors candidat à la présidence du Parti du pouvoir du peuple, lors d’un débat télévisé en direct, le 1ᵉʳ octobre 2021.

Sangnok a retrouvé son imperturbable. Ce secteur de la localité d’Ansan, au sud de Séoul, a expérience la tourmente pendant lequel la empreinte de l’échec de la loi belliqueuse franche le 3 décembre 2024 par le directeur sud-coréen, Yoon Suk Yeol. La cerveau : l’un des protagonistes de l’agité, Roh Sang-won, résidait pendant lequel un de ses adolescents immeubles de briques rouges, caractéristiques du canton.

Cet vieillot patron des offices de avertissement combattant, différé de l’protégée en 2018 revers travailleur agressé une officière, y exerçait la allant de « paksu » (« femme sorcier ») en deçà le patronyme de « Bodhisattva d’Ansan ». Sangnok est un secteur de chamans, lequel on délimité les officines aux drapeaux pourpre et triste qui flottent sur les bâtiments et aux symboles bouddhistes « manja » fixés sur les façades.

Contacté par son adjoint à la portrait du avertissement combattant revers contribuer au égratignure de rénitence de M. Yoon, il a joué de ses connexions chamaniques revers la résultat de l’ablation. Il a singulièrement épelé Lee Seon-jin, fameux « mudang » (« chamane homme »), revers discerner les potentiels « traîtres » star sur des états de militaires.

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