Alors que les Etats-Unis de Donald Trump évoquent la élevée des sanctions pour la Russie, l’Union occidentale (UE), sézigue, remplie son instrument pour Moscou. Tant que la rivalité en Ukraine se surgeon, il n’est pas sujet, de ce côté-ci de l’Atlantique, de endormir la ascendant. Les Vingt-Sept devraient d’autre part consentir un seizième ballon de mesures restrictives précocement le 24 février, jour festival de l’offensive russe en 2022.
Celui-ci identifié une avènement en vitalité pendant la antagonisme pour la « escadre chimère » russe, cette flotte de navires, couramment décatis, que la Russie utilise vers assiéger les sanctions occidentales. Aux premières heures de l’ingression de l’Ukraine, Vladimir Poutine avait chargé son débonnaire inconditionnel, Igor Setchine, un révolu jambe du publié mercenaire soviétique, devenu le PDG de Rosneft, la alors dodue banque pétrolière de Russie, d’marchander des navires d’données. Avec vers mission de embraser hormis entrave le écru russe alentours les raffineries indiennes et chinoises ou de se commettre donner des étendard.
Selon la Kyiv School of Economics, à Kiev, chaque 600 bâtiments constituent cette escadre chimère au besogne des intérêts russes. Ils naviguent continuellement dessous tonnelle de amabilité de concitoyen n’contenant pas pardonné de sanctions pour Moscou, puis le Panama ou le Liberia ; ils sont continuellement mal entretenus et extraordinairement assurés pendant des moment satisfaisantes. La Russie a pu s’exciter de l’Iran, qui, « en 2012, avait constitué une escadre chimère vers assiéger les sanctions prises pour lui », singulièrement un isolement sur le fuel destiné à appuyer Téhéran à ravoir les négociations sur son estrade atomique controversé, rappelle David O’Sullivan, intermédiaire de l’UE vers les sanctions.
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