
Le bourgmestre de Tournefeuille (Haute-Garonne) notifié l’armure des 11 policiers municipaux verso articuler la quiétude et la défiance là-dedans la arrondissement.
Des caméras excursionniste et des pennon de poing, c’est l’outillage adventice lequel les policiers municipaux de Tournefeuille devraient incessamment jouir. “Une décision grave, mais nécessaire”, réputation le bourgmestre de la patrie de l’Ouest occitan.
C’est une épargnant spot de Frédéric Parre : l’armure ultérieur des policiers municipaux de la patrie, qui pourrait changer berlue là-dedans les traitement à naître. “La tranquillité publique ne se décrète pas, elle se construit sur le long terme, avec les moyens qui sont les nôtres”, soutient l’bailli, à la figure de la arrondissement depuis brumaire 2024.
A deviner donc :
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Il surgeon : “c’est un engagement qui mobilise tous les acteurs de la tranquillité publique. Aujourd’hui, avec des effectifs renforcés, de nouveaux dispositifs de surveillance et un partenariat accru avec la police nationale, nous progressons. Cependant, compte tenu de l’évolution de la société, j’ai décidé, en lien avec mon adjointe à la prévention et à la tranquillité publique, et en accord avec la majorité, d’améliorer la sécurité des habitants et des policiers en les équipant d’armes de poing et de caméras piéton. Une demande va donc être faite en ce sens à la préfecture”, notifié le bourgmestre. Le gouverneur devrait incessamment évaluer sur la supplique de la commune.
“L’idéal, c’est que l’arme reste dans son étui”
La surveillance municipale a certes une engagement d’questionnaire et de soulagement officielle. Mais à Tournefeuille également là-dedans les villes voisines, sézigue est donc régulièrement la originelle à parrainer là-dedans les situations de impatience. Les policiers municipaux font bientôt avers à des agressions. “Actuellement, les agents sont dotés d’un gilet pare-balles, d’un générateur d’aérosol et d’un bâton de défense. L’arme de poing complète cet équipement, avec un rôle avant tout dissuasif”, explique Djamel Bénoumeur, présentateur de la surveillance municipale et administrateur de la soulagement officielle.
A deviner donc :
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Expliquant la jugement de la patrie sur l’armure de la surveillance, il ajoute : “une arme, c’est comme un bon contrat. L’idéal, c’est qu’il reste dans le tiroir, et l’arme dans son étui.”
Avant de composer de l’fourni de poing, les policiers municipaux devront filocher la combine juste (perquisition médicale, groupe permis, groupe à l’armure), lesquelles la commune ajoute des tests psychiques. Enfin, les policiers suivront une paire de formations primordiaux de tir par an. L’armure des 11 agents tournefeuillais ne sera validé qu’ultérieurement accompagnement du gouverneur.
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